Sérine
- Nom féminin singulier
Définition
- en biochimie, acide aminé qui constitue les protéines
"sérine" dans l'encyclopédie
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SERIN DES CANARIES ou CANARI
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 006 mots
Parmi les oiseaux de ce genre, on compte le serin cini (S. serinus) et le serin soufré (S. sulphuratus) d'Afrique, qui est également apprécié comme animal de compagnie.
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CASÉINE
- Écrit par Geneviève DI COSTANZO
- 2 432 mots
Lipmann (1933), on sait que la majeure partie de l'acide phosphorique estérifie la fonction alcoolique de la sérine. On utilise la caséine pour la fabrication de colles et d'adhésifs, des émulsionnants, des hydrolysats protéiques, des matières plastiques (galalithe). On fabrique des fibres protéiques artificielles à partir de la caséine en transformant la structure globulaire de cette protéine en structure fibreuse.
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BIOTINE
- Écrit par Geneviève DI COSTANZO
- 3 265 mots
En outre, la biotine intervient dans la désamination de l'acide aspartique, de la sérine et de la thréonine dans les cellules bactériennes. Elle participe donc à divers métabolismes tels que la biosynthèse de l'acide nicotinique par Neurospora, la dégradation du glucose par Saccharomyces cerevisiae et la synthèse des acides gras. La carence en biotine se traduit chez l'animal par une alopécie, une dermatite, une anémie, une élévation de la cholestérolémie et des troubles de l'appareil reproducteur.
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MATRICE INTERCELLULAIRE ou MATRICE EXTRACELLULAIRE
- Écrit par Jacqueline LABAT-ROBERT et Ladislas ROBERT
- 13 205 mots
- 6 médias
Ces longues chaînes glycosaminoglycanniques sont fixées sur une protéine porteuse centrale comme les poils d'un goupillon, avec une séquence intermédiaire qui est identique pour de nombreux glycosaminoglycannes, et qui comporte, après l'acide uronique terminal, deux résidus de galactose et un résidu de xylose lié par une liaison O-glycosidique sur une sérine ou thréonine de la protéine porteuse.
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PHOTORESPIRATION
- Écrit par Paul MAZLIAK
- 5 000 mots
Deux molécules de glycocolle peuvent être oxydées en sérine à l'intérieur des mitochondries, d'où le dégagement du CO2 photorespiratoire. La photorespiration aboutit donc, dans tous les cas, à une diminution très importante de la productivité des plantes photosynthétisant en C3. On perçoit tout l'intérêt de la recherche des conditions de culture où la photorespiration soit maintenue à faible niveau, l'intérêt de la recherche des mutants à faible photorespiration et encore l'intérêt du développement, en agriculture, des plantes en C4 dont l'apparition marque sans doute un progrès dans l'évolution des végétaux supérieurs.