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Sédative

  • Adjectif féminin singulier

Définition

  1. se dit de substances agissant contre la douleur, l'angoisse, l'insomnie

"sédative" dans l'encyclopédie

  • HOUBLON

    • Écrit par Pierre LIEUTAGHI
    • 2 741 mots

    Ces constituants font du houblon une plante médicinale polyvalente : tonique, apéritive et antiseptique par ses principes amers, sédative et soporifique par son essence. Excellent tonique des voies digestives, le houblon s'emploie dans l'anorexie, l'atonie intestinale, les gastropathies nerveuses, où il « peut combattre simultanément l'élément spasme et l'élément atonie » (H.

  • VALÉRIANE

    • Écrit par Pierre LIEUTAGHI
    • 1 202 mots

    Également sédative et quelque peu somnifère, c'est un remarquable antispasmodique. Elle est indiquée dans les névroses, l'insomnie, l'hystérie, les convulsions, « tous les cas d'hyperexcitabilité psychique et sensorielle » (Leclerc). Adjuvant dans l'épilepsie, elle est utile aussi dans les affections nerveuses de l'estomac et de l'intestin (où elle se montre de surcroît vermifuge).

  • RÉSERPINE

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 1 701 mots

    Cette drogue a une action sédative profonde et prolongée. D'abord utilisée comme dépresseur du système nerveux central dans le traitement des psychoses, elle a été ensuite remplacée en psychothérapie par les phénothiazines (telles que la chlorpromazine). La réserpine possède une action biochimique fondamentale ; elle provoque une diminution très importante de la concentration en sérotonine et en catécholamines du cerveau.

  • PAPAVÉRINE

    • Écrit par Philippe COURRIÈRE
    • 1 675 mots

    Elle stimule la respiration et possède une très nette action sédative. En thérapeutique, on l'emploie par voies orale et intraveineuse, dans le traitement des affections vasculaires, dans l'angine de poitrine, dans certains troubles cardiaques (tachycardie).

  • PLANTAINS

    • Écrit par Pierre LIEUTAGHI
    • 1 907 mots
    • 1 média

    ) Les feuilles froissées ont un effet de type antihistaminique, rendant leur application sédative après les piqûres d'insectes, d'orties ou brûlures. Pour les traitements internes, infusion à 10 p. 100 avec deux à trois tasses par jour en cas de diarrhée, dysenterie, néphrite chronique, hémorragies, catarrhées pulmonaires. Les graines ont une vieille réputation d'être laxatives ; très mucilagineuses, leur effet est supérieur à celui du lin (une cuillerée à soupe au repas du soir).

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