Séducteur

"séducteur" dans l'encyclopédie

• GRANGER FARLEY (1925-2011)

  • Écrit par Melinda C. SHEPHERD et Encyclopædia Universalis
  • 2 217 mots

  C'est pourtant un séducteur veule et troublant qu'il incarne, au côté d'Alida Valli, dans le chef-d'œuvre de Visconti, Senso (1954), d'après le roman de Camillo Boito. Après avoir joué dans The Girl in the Red Velvet Swing (1955, La Fille sur la balançoire) de Richard Fleischer, Farley Granger part s'installer à New York pour étudier l'art dramatique et poursuivre une carrière sur les planches.

• CHANSON DE FEMMES

  • Écrit par Daniel POIRION
  • 2 802 mots

  Enfin, ces chansons sont souvent placées dans la bouche du séducteur, dont les vantardises gauloises couvrent bien vite la voix féminine douce et ardente, qui s'entend encore un peu plus tard dans les cantigas d'amigo gallego-portugaises avant de réapparaître dans la chanson populaire à la fin du Moyen Âge.

• LEMECHEV SERGEI (1902-1977)

  • Écrit par Philippe DULAC
  • 1 269 mots

  Le ténor Sergei Lemechev (né à Knyazevo, dans l'oblast de Tver, en Russie, le 27 juin – ancien style, 10 juillet, nouveau style – 1902) était le charme même, à la scène comme à la ville, et le public adulait ce séducteur aux allures d'éternel jeune homme, qui n'avait pas renié ses très modestes origines et affectionnait les chansons populaires. Doté d'une technique exceptionnelle, il offre une palette de couleurs vocales extraordinairement étendue, dont l'art du comédien, appris chez Stanislavski, en amplifiait encore la puissance expressive.

• VALENTINO RUDOLPH (1895-1926)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 1 189 mots
  • 1 média

  Sa filmographie est composée en majorité de drames romantiques qui lui valent d'être surnommé le « grand séducteur » des années 1920 : The Sheik (1921, Le Cheik), Blood and Sand (1922, Arènes sanglantes), The Eagle (1925, L'Aigle noir) et The Son of the Sheik (1926, Le Fils du cheik). Rudolf Valentino meurt à 31 ans d'une péritonite due à une perforation d'ulcère.

• BOYER CHARLES (1899-1978)

  • Écrit par André-Charles COHEN
  • 4 359 mots
  • 3 médias

  Séducteur accrédité, il a choisi (en août 1978) une mort qui lui confère à jamais une aura romantique. Charles Boyer est né à Figeac, dans le Lot. Attiré très jeune par les métiers du spectacle, il doit se ranger au souhait de sa famille de le voir suivre des études secondaires, voire supérieures. « Monté » à Paris pour préparer une licence de philosophie, il suit parallèlement les cours du Conservatoire.