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Saccharique

  • Adjectif singulier invariant en genre

Définition

Expressions autour de ce mot

  1. acide saccharique  : obtenu par action sur le saccharose, le glucose, l'amidon, le lactose

"saccharique" dans l'encyclopédie

  • GUITRY SACHA (1885-1957)

    • Écrit par Noël SIMSOLO
    • 7 248 mots
    • 2 médias

    Alain Resnais a toujours affirmé que le cinéaste Sacha Guitry avait eu une influence décisive sur lui, car il est le plus classique de nos modernes.

  • NACHT SACHA (1901-1977)

    • Écrit par René MAJOR et Marc NACHT
    • 4 201 mots

    Pourtant, l'œuvre de Sacha Nacht, par bien des aspects, exprime une tendance opposée à celle d'une compilation du savoir. Elle est régulièrement parcourue par les données les moins conceptualisables. Telle la notion de « communication non verbale », développée à partir de celle de « moi autonome », héritage de Heinz Hartmann, lequel fut indiqué par Freud comme second analyste à Sacha Nacht à l'issue d'un trimestre d'entretiens qu'ils eurent en 1936.

  • PITOËFF SACHA (1920-1990)

    • Écrit par Georges COHEN
    • 1 829 mots

    Au côté de Delphine Seyrig, Sacha Pitoëff put y interpréter sans mal le rôle d'un meneur de jeu énigmatique. Sacha Pitoëff ou, selon les mots d'un critique théâtral, « le comédien sans grimace et sans complaisance ».

  • DISTEL SACHA (1933-2004)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 1 532 mots

    Présentateur de télévision, il anime le « Sacha Show » et plus tard « La Belle Vie » (1985), tiré de la chanson éponyme (1964), reprise par Frank Sinatra. Grâce à Raindrops Keep Fallin'on my Head (1971), il conquiert la Grande-Bretagne et se produit sur les scènes de New York ou d'Atlantic City. Il a adapté Le Soleil de ma vie (1973) de Stevie Wonder.

  • LE ROMAN D'UN TRICHEUR, film de Sacha Guitry

    • Écrit par Michel CHION
    • 5 126 mots
    • 1 média

    En 1936, l'écrivain, dramaturge, acteur et réalisateur Sacha Guitry (1885-1957), fils du grand acteur Lucien Guitry, après avoir porté à l'écran plusieurs de ses pièces, comme Pasteur (1935), et Le Nouveau Testament (1936), fait le pari de tirer un film de son unique récit, Mémoires d'un tricheur (1935), et d'en respecter le caractère romanesque. Tirant les conséquences de la formule qu'il emploie pour définir le cinéma par rapport au théâtre (« au théâtre, on joue ; au cinéma on a joué »), il tente un des rares films entièrement raconté par une voix narrative – la sienne –, et donc complètement au passé.

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