Sadd
- Nom masculin singulier
Définition
- en géographie, oasis dans la plaine soudanaise
"sadd" dans l'encyclopédie
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MESSADI MAḤMŪD (1911-2004)
- Écrit par Sayed Attia ABUL NAGA
- 1 269 mots
Mais Massignon qualifie Al-Sadd de « pièce ibsénienne », probablement parce qu'elle a certains points communs avec Brand. Néanmoins, l'auteur affirme qu'il n'a subi aucune influence étrangère et définit Al-Sadd comme un « hymne à l'action ».
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PHILAE
- Écrit par Jean LECLANT
- 5 640 mots
- 1 média
Paradoxalement, Philae a pu être sauvée grâce au haut barrage d'Assouan (le Sadd al‘Alī) construit à quelques kilomètres en amont. Dans le cadre de la campagne de sauvetage des monuments de la Nubie, on avait pensé tout d'abord protéger l'île par une série de trois barrages annexes qui prendraient appui sur la rive du fleuve d'une part et sur la grande île de Biggeh d'autre part.
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NIL
- Écrit par Éric DENIS
- 18 643 mots
- 5 médias
La construction du Sadd al-Ali, dont le réservoir long de 360 kilomètres déborde au Soudan, nécessite une renégociation de l'accord de 1929, d'autant plus que les Soudanais contestent la part trop faible qui leur est accordée. Avec cet accord de 1959, toujours de référence, l'Égypte concède 18,5 kilomètres cubes au Soudan et se garde 55,5 kilomètres cubes acceptant, en contrepartie, la construction du barrage de Roseires sur le Nil Bleu.
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NUBIE TEMPLES DE
- Écrit par Jean LECLANT
- 12 993 mots
- 7 médias
La construction du haut barrage d'Assouan (Sadd al-‘Ali) en a submergé l'emplacement sous les flots de l'immense lac Nasser. Au prix d'efforts gigantesques, les principaux monuments ont été démontés et reconstitués hors de la portée des eaux ; certains ont été donnés à des pays étrangers qui avaient participé à la campagne archéologique internationale menée à l'appel de l'UNESCO.
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THÉÂTRES DU MONDE Le théâtre dans le monde arabe
- Écrit par Sayed Attia ABUL NAGA
- 23 560 mots
Une pléiade d'écrivains, suivant l'exemple d'al-Ḥakīm, a produit des œuvres originales où le drame s'intériorise, où l'action, toujours simple, puise ses mobiles dans les caractères et non dans les péripéties (comme les œuvres de l'Égyptien Mahmūd Taymūr, du Tunisien Muḥammad Mas‘adī dont Le Barrage (As-sadd) a été qualifié de pièce « ibsénienne » par Louis Massignon, des Libanais Adonis et Sa‘īd ‘Aql).