Samaritaine
- Nom féminin singulier
- Adjectif féminin singulier
Définition
Employé comme adjectif
- relative à la ville ou la région de Samarie
Employé comme nom
- native ou habitante de la ville ou de la région de Samarie
- secouriste (Suisse)
"samaritaine" dans l'encyclopédie
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SAMARITAINS
- Écrit par Vittorio MORABITO
- 10 923 mots
- 1 média
Or on est censé croire qu'à la base du Pentateuque samaritain se trouve un ancien texte, un texte neutre, appelé proto-samaritain. Ainsi, le texte samaritain comprend deux catégories de contenus : la première est constituée d'un ancien texte ; la seconde, des modifications et des ajouts nécessaires à présenter les éléments caractéristiques propres à la secte samaritaine.
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LA BELLE JARDINIÈRE
- Écrit par Bernard VALADE
- 1 044 mots
À ce mouvement de démocratisation de la consommation allaient, entre autres, participer, sous le second Empire, Boucicaut, acquéreur en 1852 du Bon Marché qu'il transforma en 1869, Chauchard et Hériot avec les Magasins du Louvre (1855), Jaluzot avec le Printemps (1865), Cognacq avec la Samaritaine (1870).
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JOURDAIN FRANTZ (1847-1935)
- Écrit par Yves BRUAND
- 1 448 mots
Il est un fervent admirateur de la galerie des Machines de l'Exposition universelle de 1889, œuvre de Dutert et de Contamin ; il en exploite la leçon ainsi que celle du Bon Marché de Boileau et Eiffel (1889) dans son chef-d'œuvre : les nouveaux magasins de la Samaritaine (1905), construction de métal et de verre dotée d'une ornementation naturaliste en fer forgé et céramique vernissée, typique de l'Art nouveau.
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BETH ALPHA
- Écrit par Gabrielle SED-RAJNA
- 1 801 mots
C'est l'une des rares mosaïques que les artisans aient signées : Marinos et son fils Hanina, qui ont aussi exécuté le pavement de la synagogue dite samaritaine à Beth Shean.
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ESDRAS ou EZRA (Ve-IVe s. av. J.-C.)
- Écrit par Marguerite JOUHET
- 2 643 mots
Esdras y est envoyé pour régler la querelle judéo-samaritaine : Esdras impose une loi en rassemblant les apports anciens du Pentateuque, le Code sacerdotal et quelques lois additionnelles, assurant ainsi l'unité de la législation entre « l'étranger et l'indigène » sous l'égide du sacerdoce de Jérusalem. Il renforce la réforme de Néhémie sur les mariages avec les étrangères : les Juifs doivent répudier toutes les femmes étrangères.