Satisfaisant
- Adjectif masculin singulier
- Verbe au participe présent
Définition
- qui satisfait, qui est acceptable
Forme dérivée du verbe « satisfaire »
"satisfaisant" dans l'encyclopédie
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ICHTYOSE
- Écrit par Pierre de GRACIANSKY
- 1 381 mots
- 1 média
Le plus souvent transmise en dominance, elle s'accompagne d'un état somatopsychique satisfaisant. Plus rarement transmise en récessivité, elle frappe alors des sujets hypotrophiques. Ses liens avec un trouble endocrinien sont suspectés mais non démontrés. Son traitement local par des kératolytiques et son traitement général par la vitaminothérapie A à haute dose constituent souvent un palliatif satisfaisant.
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ANGOR
- Écrit par François BOURNÉRIAS
- 1 226 mots
Au traitement médical classique, dont l'efficacité est inégale car il est surtout symptomatique, s'est ajoutée récemment la technique chirurgicale du pontage aorto-coronarien (qui vise à rétablir un débit coronarien satisfaisant). Les indications reposent notamment sur un bilan lésionnel précis obtenu par la coronographie.
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RUDIN MARY ELLEN (1924-2013)
- Écrit par Bernard PIRE
- 1 526 mots
À partir de 1950, elle étudie les implications d'un système d'axiomes proposé en 1932 par Moore pour la théorie des ensembles de points, ses relations à différents autres systèmes ou les espaces satisfaisant un sous-système d'axiomes. Professeure émérite, elle publie en 1998 une caractérisation des images continues au sens de Hausdorff des espaces compacts linéairement ordonnés.
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OGAREV NIKOLAÏ PLATONOVITCH (1813-1877)
- Écrit par Alexandre BOURMEYSTER
- 1 652 mots
À la recherche d'un système philosophique satisfaisant, Ogarev s'égare souvent dans la spéculation. Absorbé par les tâches ingrates de la rédaction, il montre néanmoins des qualités de polémiste et d'agitateur politique. Mal connues en Russie au xixe siècle alors qu'elles traitaient de problèmes brûlants, ses poésies engagées ont vieilli sans avoir exercé d'influence véritable.
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NEPER ou NAPIER JOHN (1550-1617)
- Écrit par Jacques MEYER
- 1 982 mots
Les résultats obtenus ne le satisfaisant pas, Napier, en collaboration avec Henry Briggs (1561-1630), inventa un nouveau logarithme : le logarithme décimal ou briggsien. En 1619 paraît Mirifici logarithmorum canonis constructio, dans lequel Napier donne une méthode de calcul des logarithmes. En plus de la découverte des logarithmes, on doit à Napier une méthode pour effectuer d'une façon mécanique les opérations de multiplication, de division et d'extraction de racines carrées (Rabdologiae, seu Numerationis per virgulas libri duo, 1617) et des contributions importantes à la trigonométrie sphérique (règle des parties circulaires).