Sauve
- Adjectif féminin singulier
- Verbe à l'indicatif présent 1e personne du singulier
Définition
- tirée d'un grand péril
- qui n'est pas atteinte
Forme dérivée du verbe « sauver »
"sauve" dans l'encyclopédie
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À L'AMI QUI NE M'A PAS SAUVÉ LA VIE, Hervé Guibert Fiche de lecture
- Écrit par François POIRIÉ
- 5 445 mots
- 1 média
Chaque livre d'Hervé Guibert est habité par la présence d'un écrivain fantôme qui joue de son influence de manière diffuse : après Roland Barthes, Peter Handke ou Eugène Savitzkaya, c'est à Thomas Bernhard qu'incombe, dans À l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie, ce rôle de « frère d'écriture ». Ce mimétisme n'apparaît pas continûment, mais par vagues.
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JACQUES APOCALYPSE DE
- Écrit par Michel PEZIN
- 1 174 mots
Il prononce avant de mourir une prière qui termine l'ouvrage : « Mon Dieu et mon Père, qui m'as sauvé de l'espoir mort, qui m'as gardé vivant [...], ne fais pas que les jours de ce monde me soient prolongés [...], sauve-moi de la mort [...] parce que ta grâce vit en moi ! Sauve-moi de la chair pécheresse [...] parce que tu es la vie de la Vie... »
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GUIBERT HERVÉ (1955-1991)
- Écrit par François POIRIÉ
- 2 368 mots
- 1 média
Il reconnaissait volontiers que ses livres étaient écrits sous l'influence de, ou plutôt en compagnie des écrivains qu'il admirait : Roland Barthes, Peter Handke, Eugène Savitzkaya, Knut Hamsun ou encore Thomas Bernhard pour À l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie.
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CUREL FRANÇOIS DE (1854-1928)
- Écrit par Hélène LACAS
- 2 729 mots
Apostrophé par Charles Maurras dans l'Observateur français du 25 avril 1889 : « Au théâtre ! Au théâtre ! Monsieur de Curel », il écrit la même année sa première œuvre dramatique, Sauvé des eaux, et, quelques mois plus tard, La Figurante, pièces qui sont refusées par les lecteurs du Théâtre-Français et de l'Odéon. Il envoie alors ces deux pièces plus une troisième, L'Ortie (1891), sous trois signatures différentes à Antoine, qui les accepte toutes.
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RĀKṢASA
- Écrit par Jean VARENNE
- 3 131 mots
) sauve les pécheurs et les démons aussi bien que les justes. On interprète, par exemple, l'épopée du Rāmāyana comme une œuvre de salut opérée par Rāma (incarnation de Vishnu) pour délivrer le démon Rāvana de sa condition mauvaise. L'enlèvement de Sītā (femme de Rāma) par Rāvana devient la felix culpa qui justifie l'intervention rédemptrice de Vishnu : le trait qui perce le cœur de Rāvana vaincu est la manifestation de la grâce puisqu'il est lancé par Rāma.