Scille
- Nom féminin singulier
Définition
- en botanique, plante diurétique de la famille des liliacées
"scille" dans l'encyclopédie
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RESPIRATOIRE (APPAREIL) Catégories de médicaments
- Écrit par Henri SCHMITT et Encyclopædia Universalis
- 8 049 mots
- 1 média
Ce sont, entre autres, la terpine et certains extraits végétaux comme le polygala ou la scille. Diminution de la viscosité du mucus bronchique La diminution de la viscosité du mucus bronchique est l'œuvre des mucolytiques (acétylcystéine, Bisolvon®, α-chymotrypsine), qui scindent les chaînes polypeptidiques du mucus. Le changement de structure ainsi induit favorise l’expectoration.
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LILIALES
- Écrit par André LAWALRÉE
- 15 571 mots
- 8 médias
La plus représentative, tant du point de vue systématique même que du point de vue numérique et économique, est sans aucun doute celle des Liliacées : ail, oignon, poireau (le grand genre Allium), asperge (genre Asparagus) sont consommés dans l'alimentation ; beaucoup constituent la plupart des plantes à bulbe des horticulteurs appréciées pour leur floraison printanière (tulipe, jacinthe, fritillaire, muscari, scille.
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PHARMACOLOGIE
- Écrit par Edith ALBENGRES, Jérôme BARRE, Pierre BECHTEL, Jean-Cyr GAIGNAULT, Georges HOUIN, Henri SCHMITT et Jean-Paul TILLEMENT
- 111 772 mots
- 9 médias
) mentionne les effets narcotiques de l'opium et reconnaît à son tour les propriétés diurétiques de la scille. Arpuleius connaissait les effets cathartiques de la coloquinte, et ceux de la mandragore sur le système nerveux central. Rappelons, accessoirement que, sous l'Empire romain, les empoisonneurs exploitaient les propriétés toxiques de nombreuses plantes.
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MÉDICAMENTS
- Écrit par Paul-Étienne BARRAL, Hélène MOYSE, Jean-Yves NAU, Michel PARIS, René Raymond PARIS et Encyclopædia Universalis
- 53 778 mots
- 4 médias
À côté de plantes toujours utilisées aujourd'hui comme sédatifs (pavot, jusquiame), purgatifs (séné, ricin, coloquinte), diurétiques (scille), etc., figuraient divers ingrédients : sang, os, graisses animales, et des minéraux comme l'ocre. La médecine était alors fortement mêlée de pratiques magiques. Les grands médecins grecs, dont le plus célèbre est Hippocrate (ve s.