Semi-aride
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- en géographie, qui n'est pas complètement aride (zones en bordure des déserts)
"semi-aride" dans l'encyclopédie
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NATOUFIENNE CIVILISATION, Proche-Orient
- Écrit par Francis HOURS
- 602 mots
Chasseurs de petits herbivoires (surtout des gazelles), cueilleurs de céréales sauvages et pêcheurs, les Natoufiens ont occupé tout le Levant semi-aride, de la Syrie du Nord au delta du Nil. On leur doit la construction des premiers villages sédentaires, encore préagricoles, en Palestine (Mallaha) ou sur le moyen Euphrate syrien (base de Mureybet et d'Abu Hureyra).
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PPNB (Prepottery Neolithic B)
- Écrit par Jacques CAUVIN
- 641 mots
) est marquée par la première expansion de l'agriculture et du Néolithique hors de la zone semi-aride initiale, vers le littoral tempéré de Syrie (Ras Shamra) et les oasis du désert, et par l'apparition sporadique des premières céramiques.
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MILLET
- Écrit par Roger BÉTEILLE
- 1 091 mots
Céréale typique des pays du Tiers Monde à climat sec ou semi-aride. Particulièrement cultivé en Afrique aux abords du 15e parallèle, le millet apparaît aussi dans l'Inde péninsulaire, en Extrême-Orient, en ex-U.R.S.S. La plante s'accommode de 350 à 700 millimètres de pluie et de sols minces. Les rendements sont bas : de 3 à 5 quintaux par hectare en culture traditionnelle, contre 20 quintaux en station expérimentale.
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DOUKKALA
- Écrit par Robert FOSSET
- 1 288 mots
Les bons sols sont fréquents, mais le climat semi-aride et l'irrégularité des pluies pèsent sur l'agriculture, qui fait une large place aux céréales et à la betterave à sucre. L'existence d'une grande surface irrigable et la proximité de l'Oum er-Rbia ont permis d'aménager un périmètre d'irrigation moderne et de développer des cultures sous serres.
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WINDHOEK
- Écrit par Alain DUBRESSON
- 1 986 mots
- 2 médias
Cette prééminence tient, avant tout, à sa fonction de capitale politique, mais également à son site collinaire, à 1 700 mètres d'altitude, qui offre de nombreux atouts en milieu semi-aride : doté de sources chaudes qui garantissaient jadis l'approvisionnement permanent en eau, il domine une vallée fertile, un couloir de passage entre le massif du Khomas Hochland et les monts Auas.