Septuor
- Nom masculin singulier
Définition
- ensemble vocal ou instrumental de sept exécutants
- composition musicale destinée à un tel ensemble
"septuor" dans l'encyclopédie
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NOUVEAU ROMAN. CORRESPONDANCE 1946-1999 (ouvrage collectif) Fiche de lecture
- Écrit par Christine GENIN
- 6 833 mots
Un mouvement en formation Le septuor se réduit d’abord à un duo entre Alain Robbe-Grillet (1922-2008) et Claude Ollier (1922-2014). Bien plus, les quinze premières lettres sont de la main du premier, les réponses ayant disparu. Les deux jeunes gens ont alors vingt-trois ans. Leur amitié est née trois ans plus tôt, lorsqu’ils ont été envoyés en Allemagne par le STO.
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PLEYEL IGNAZ (1757-1831)
- Écrit par Marc VIGNAL
- 2 082 mots
On lui doit une trentaine de symphonies, de nombreux concertos et symphonies concertantes (dont une produite à Londres en concurrence avec l'unique symphonie concertante de Haydn), beaucoup de musique de chambre (du duo au septuor), quelque quinze sonates pour piano et une méthode de piano, parue en 1797 et souvent rééditée depuis. A noter que deux de ses trios furent longtemps attribués à Haydn (nos 3 et 4 du catalogue Hoboken) qui, d'ailleurs, porta la responsabilité entière de cette confusion courante à l'époque.
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PREY CLAUDE (1925-1998)
- Écrit par Brigitte MASSIN
- 2 996 mots
comique », 1992 ; Sitôt le septuor, opéra « opus Proust », 1994), la musique, présente à des degrés divers, joue un double rôle. « À la recherche scénique, elle apporte une méthode (série, permutation, variation, composition) permettant la notation et le contrôle d'un domaine agrandi (intonation, distances, mais aussi niveaux de langages, silences, gestes, discours, costumes).
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SPOHR LOUIS (1784-1859)
- Écrit par Marc VIGNAL
- 3 000 mots
32 ou le Septuor op. 147, restent de beaux témoignages non seulement de son grand talent, mais de tout un courant musical — courant quelque peu provincial, mais synthétisant non sans bonheur les côtés les plus brillants des traditions que, plus que tout autre, il sut personnifier. Parmi ses écrits, on citera une méthode de violon (Violinschule, 1832) et une intéressante autobiographie posthume en deux volumes (Selbstbiographie, 1860-1861).
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COLLAER PAUL (1891-1989)
- Écrit par Alain PÂRIS
- 3 418 mots
Sa carrière de pianiste et de chef d'orchestre lui a permis de créer de nombreuses œuvres de Charles Koechlin (Quintette pour piano et cordes no 1, 1934 ; Septuor pour instruments à vent, 1943), de Henri Sauguet (Concerto pour piano no 1, 1935) et de Darius Milhaud, qui lui vouait une profonde amitié et qui lui a dédié La Création du monde (ballet sur un argument de Blaise Cendrars, décors et costumes de Fernand Léger, 1923), le Concerto pour batterie et orchestre (1929-1930), la Suite d'après Corrette pour trio d'anches (1937), la Cantate de l'enfant et de la mère (1938), ainsi que les quatuors à cordes nos 14 et 15 (1948-1949) qui se jouent séparément ou ensemble, sous le titre d'Octuor à cordes.