Serbe
- Nom singulier invariant en genre
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
Employé comme adjectif
- relatif à la Serbie
Employé comme nom
- personne ayant la nationalité serbe , natif ou habitant de ce pays
- en linguistique, langue parlée en Serbie
"serbe" dans l'encyclopédie
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SERBIE
- Écrit par Amaël CATTARUZZA, Christophe CHICLET, Jovan DERETIC, Catherine LUTARD et Encyclopædia Universalis
- 65 051 mots
- 9 médias
Même si les deux protagonistes principaux, serbe (Lazar Hrebeljanović) et turc (Mourad Ier), y trouvèrent la mort, la victoire ottomane annonçait l'occupation complète et rapide du territoire serbe. Actuellement, cette bataille représente un des symboles de l'identité nationale serbe. Avec la chute de Smederevo (1459), qui était alors la capitale, l'État serbe perd toute autonomie et passe sous la domination ottomane.
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SERBIE, chronologie contemporaine
- Écrit par Universalis
Tous les événements politiques (élections, conflits, accords, …) et les faits économiques et sociaux qui ont marqué l’histoire contemporaine du pays jusqu’à aujourd’hui.
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MILOŠ Ier OBRENOVIĆ (1780-1860) prince de Serbie
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 3 427 mots
Simple paysan, Miloš Teodorović travaille pour son demi-frère Milan Obrenović avant de rejoindre Karadjordje, qui déclenche l'insurrection serbe contre l'autorité ottomane en 1804. Miloš est ainsi nommé commandant des forces rebelles en 1805. Après l'assassinat de son demi-frère en 1810, peut-être par Karadjordje lui-même, il prend le nom d'Obrenović et conservera dès lors une certaine animosité envers Karadjordje.
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ÉTIENNE IX UROŠ IV DUŠAN (1308-1355) roi puis empereur des Serbes (1331-1355)
- Écrit par Jean BÉRENGER
- 1 246 mots
Il laisse un fils de dix-neuf ans, Étienne X Uros V, qui ne peut empêcher l'effondrement de la dynastie et de l'Empire serbe.
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MILOŠEVIĆ SLOBODAN (1941-2006)
- Écrit par Christophe CHICLET
- 5 627 mots
- 1 média
Il est envoyé au Kosovo pour y rencontrer la minorité serbe qui manifeste à Kosovo Polje contre les exactions des autorités autonomes albanaises. Assistant au matraquage des manifestants, il lance son célèbre : « Personne n'a le droit de frapper ce peuple. » Il vient de comprendre que le nationalisme va lui servir de tremplin. Désormais, il sera le chantre d'un national-communisme purement serbe.