Siemens

"siemens" dans l'encyclopédie

• MARTIN PIERRE-ÉMILE (1824-1915)

  • Écrit par Bruno JACOMY
  • 2 887 mots
  • 1 média

  Face aux procédés Bessemer et Thomas, le procédé Siemens-Martin s'est également imposé pour la qualité de l'acier produit. Aujourd'hui, les procédés à l'oxygène ainsi que les fours à arc ou à induction se sont largement substitués au procédé Siemens-Martin, mais il restait encore en 1970 cinquante-deux fours Martin en activité en France. Pierre-Émile Martin a repris les forges de Sireuil à la suite de son père en 1854, et les dirige jusqu'en 1883.

• HERTZ GUSTAV (1887-1975)

  • Écrit par Bernard PIRE
  • 1 460 mots

  Nommé professeur à l'université de Halle en 1925, puis à l'université Charlottenburg de Berlin en 1928, il en démissionne pour des raisons politiques en 1935 et devient directeur de la recherche pour la firme Siemens. Protégé des persécutions antisémites nazies par la famille Siemens, il quitte l'Allemagne pour la Russie soviétique en 1945. Directeur d'un centre de recherche soviétique à Agudseri, sur la côte de la mer Noire, il y met au point le procédé de séparation des isotopes de l'uranium par diffusion gazeuse de leurs composés fluorés.

• JILIN ou KIRIN, ville

  • Écrit par Pierre TROLLIET
  • 1 295 mots
  • 1 média

  La ville a su attirer de grandes entreprises étrangères telles que Pepsi-Cola et Siemens ainsi que des constructeurs automobiles. (Ford,Chrysler, Volkswagen, Nissan).

• DYNAMO

  • Écrit par Olivier LAVOISY
  • 1 299 mots
  • 1 média

  D'autres propriétés sont révélées, entre autres, par les travaux d'Antonio Pacinotti ou de Werner von Siemens. La dynamo, associée à d'autres développements relevant de la production et du transport de l'électricité, inaugure l'utilisation de cette nouvelle forme d'énergie et lui donne toute sa valeur industrielle.

• RUSKA ERNST (1906-1988)

  • Écrit par Bernard PIRE
  • 1 590 mots

  Après avoir obtenu son doctorat en 1934, il rejoignit la firme Siemens qui l'embaucha pour mettre au point la télévision ; mais il réussit à convaincre la direction de développer, à partir de 1937, la production industrielle de ces nouveaux microscopes ; le premier appareil (d'un grossissement de 30 000 et au pouvoir de résolution de quelques nanomètres) fut mis sur le marché en 1939.