Silenciaire
- Nom singulier invariant en genre
Définition
- personne qui parle peu, taiseux
- en religion, moine devant garder le silence
"silenciaire" dans l'encyclopédie
-
OHANA MAURICE (1914-1992)
- Écrit par Alain PÂRIS
- 4 068 mots
Puis elle s'élargit aux moyens d'expression les plus actuels : la percussion, avec les Études chorégraphiques (1955, créées seulement en 1963 par les Percussions de Strasbourg) et Silenciaire (1969) ; les micro-intervalles, grâce auxquels il reconstitue les inflexions mélodiques du cante flamenco et dont il systématise l'emploi dans Le Tombeau de Claude Debussy pour soprano, cithare, piano et orchestre (1962) ; la voix humaine, dont il explore les ressources, du chant parlé aux onomatopées ; l'électroacoustique.
-
BAUMGARTNER RUDOLF (1917-2002)
- Écrit par Alain PÂRIS
- 4 611 mots
», 1977), Jean Françaix (Sei preludi, pour orchestre à cordes, 1964), Marcel Mihalovici, Krzysztof Penderecki (Capriccio, pour hautbois et onze cordes, 1965), Ernst Krenek, Ivo Malec (Lumina, 1968), Maurice Ohana (Silenciaire, pour cordes et percussions, 1969), Iannis Xenakis (Aroura, pour douze instruments à cordes, 1971), Edison Denisov (Concerto pour flûte, vibraphone, clavecin et cordes, 1993) ou Kazimierz Serocki.
-
VITRAIL
- Écrit par Catherine BRISAC et Louis GRODECKI
- 32 521 mots
- 6 médias
Histoire Les origines On est assuré, par des textes de Prudence, de Tertullien, de Paul le Silenciaire, de la présence des vitraux colorés dans des basiliques paléochrétiennes et à Sainte-Sophie de Constantinople. C'étaient, selon les témoins archéologiques découverts à Rome et à Saint-Démétrius de Salonique, des vitraux utilisant des montures en stuc ou en marbre.
-
ESPAGNE (Arts et culture) La musique
- Écrit par Luis CAMPODÓNICO et Pierre-Paul LACAS
- 30 645 mots
- 4 médias
Après son Silenciaire, pour cordes et percussions (1969), ses Cris, pour 12 voix mixtes (1969), constituent à leur tour un sommet où, curieusement, la référence espagnole réapparaît, discrète, insérée dans un contexte autre, par l'intermédiaire d'une debla qui n'emprunte au folklore andalou que la courbe, le dessin de l'expression et son souffle, non son style.