Sima
- Nom masculin singulier
Définition
- en géologie, zone de l'écorce terrestre caractérisée par la présence de silicium et de magnésium
"sima" dans l'encyclopédie
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SIMA GUANG [SSEU-MA KOUANG] (1019-1086)
- Écrit par Maxime KALTENMARK
- 1 023 mots
C'est un des chefs-d'œuvre de l'historiographie chinoise ainsi que la première grande histoire générale depuis le Shiji (Mémoires historiques) de Sima Qian.
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SIMA QIAN [SSEU-MA TS'IEN] (env. 145-env. 87 av. J.-C.)
- Écrit par Pierre RYCKMANS
- 9 388 mots
Quand Sima Tan mourut (110 av. J.-C.), Sima Qian lui succéda dans ses fonctions officielles à la cour et, surtout, reprit à son compte l'exécution du grand dessein dont son père lui avait laissé l'ébauche. Il était admirablement équipé pour cette tâche, et par la préparation que lui avait donnée son père, et par les lectures et voyages extensifs qu'il avait effectués dans sa jeunesse (Sima Qian fut l'un des grands voyageurs de l'époque).
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SIMA XIANGRU [SSEU-MA SIANG-JOU] (env. 179-117 av. J.-C.)
- Écrit par Yves HERVOUET
- 6 586 mots
Sima Xiangru est un des grands noms de la littérature chinoise. Les Chinois en parlent avec un sourire, car sa vie, marquée par une aventure assez unique dans l'histoire du pays, est aussi célèbre que son œuvre.Bien qu'à travers les siècles de l'histoire chinoise postérieure nombre d'auteurs aient critiqué les exagérations des fu de Sima Xiangru, son nom est resté pour beaucoup d'autres, et même parfois pour les mêmes, l'équivalent de poète, comme on appelle un chasseur un Nemrod.
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JIN [CHIN], dynastie chinoise (265-419)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 4 612 mots
En 265, Sima Yan (234 ou 236-290), prince de la famille Sima, dépose le dernier empereur Cao et fonde la dynastie des Jin occidentaux. Ce monarque dynamique et aux innombrables concubines est connu sous le nom dynastique de Wudi. Sa cour instaure l'un des premiers codes juridiques de la Chine en 268. Il renverse le souverain du royaume de Wu en 280, réunifiant ainsi la Chine.
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DÉRIVE DES CONTINENTS, en bref
- Écrit par Yves GAUTIER
- 3 887 mots
En effet, si des mouvements verticaux ascendants peuvent s'expliquer, l'effondrement des ponts continentaux dans le sima est incompatible avec l'isostasie. Si les analogies biologiques et structurales entre certains continents montrent que ceux-ci furent en relation, si la théorie de l'isostasie prouve que des parties continentales n'ont pas pu disparaître en s'enfonçant dans le sima, si les côtes de part et d'autre de l'Atlantique semblent pouvoir s'emboîter, c'est donc que les continents se déplacent horizontalement à la surface du globe ; c'est la « translation des continents » (le terme de « dérive » ne sera employé que plus tard).