Sn
- Nom invariant en genre et en nombre
Définition
- en chimie, symbole de l'étain
"sn" dans l'encyclopédie
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CONCATÉNATION, linguistique
- Écrit par Louis-Jean CALVET
- 1 763 mots
Ainsi, on pourra écrire : SN ⇌ art. + N [+ adj.] (le syntagme nominal se réécrit sous la forme : article suivi de nom et, éventuellement, d'adjectif), ou P ⇌ SN + SV [+ SN] (la phrase se réécrit sous la forme : syntagme nominal suivi de syntagme verbal et, éventuellement, de syntagme nominal : il s'agit bien évidemment ici du syntagme nominal qui pourrait venir en fonction d'objet, mais qui, sauf dans le cas obligatoire des verbes transitifs, est facultatif).
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ÉTAIN
- Écrit par Claude FOUASSIER et Michel PÉREYRE
- 18 575 mots
L'étain durci (Sn : 90 p. 100, Sb : 10 p. 100) est utilisé en poterie. Les alliages étain-antimoine-cuivre (Sn : 85 p. 100, Sb : 10 p. 100, Cu : 5 p. 100) – alliages de Babbit – sont des alliages antifrictions (régules). Leurs propriétés sont dues à la présence de points durs (SnSb et Sn5Cu6) enrobés dans une matrice douce (Sn). Signalons enfin la propriété remarquable de l'alliage niobium-étain, Nb3Sn, d'être un supraconducteur jusqu'à une température de 18,1 K.
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SÉRIES ET PRODUITS INFINIS
- Écrit par Lucien CHAMBADAL
- 16 800 mots
On appelle série d'éléments de G un couple A = ((un), (sn)) constitué de deux suites d'éléments de G telles que, pour tout entier naturel n, on ait :l'élément sn s'appelle somme à l'ordre n, la suite (un), terme général, et la suite (sn), suite des sommes partielles de la série A. On dit que la série A est convergente ou divergente suivant que la suite (sn) converge ou non.
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MERSENNE NOMBRES DE
- Écrit par Jean-Marie PRUVOST-BEAURAIN
- 2 835 mots
Le mathématicien français François Édouard Lucas (1842-1891) prouva en 1876 la primalité de M127 (qui resta jusqu'en 1952 le plus grand nombre premier connu et est encore le plus grand nombre de Mersenne dont la primalité a été prouvée sans ordinateur) et proposa en 1878 un test de primalité des nombres de Mersenne, dont la validité fut démontrée dans les années 1930 par le mathématicien américain Derrick Henry Lehmer (1905-1991) et qui s'appelle en conséquence test de Lucas-Lehmer : si p est un nombre premier, Mp est premier si et seulement si Mp divise Sp, où Sp appartient à la suite (Sn) définie par récurrence par S2 = 4 et Sn = (Sn – 1)2– 2.
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LÉVY PAUL (1886-1971)
- Écrit par Jacques MEYER
- 2 761 mots
Définissant une nouvelle fonction, la fonction de concentration, il établit l'équivalence entre la convergence presque sûre, la convergence en probabilité et la convergence en loi pour la suite Sn (où Sn désigne la somme des n premiers termes d'une suite infinie de variables aléatoires indépendantes). Il redécouvre et améliore la loi du logarithme itéré, due à Khintchine, introduit la loi d'Arc sinus.