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Social-chrétien

  • Nom masculin singulier
  • Adjectif masculin singulier

Définition

Employé comme adjectif

  1. en politique, relatif au parti démocrate chrétien belge

Employé comme nom

  1. en politique, membre du parti démocrate chrétien belge

"social-chrétien" dans l'encyclopédie

  • FEBRES CORDERO LEÓN (1931-2008)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 1 292 mots

    Membre du Parti social-chrétien, ce richissime homme d’affaires conservateur est élu président de la République en 1984 avec le mot d’ordre Pan, Techo y Empleo (« pain, toit et emploi »). Il se fait bientôt connaître à travers toute l’Amérique latine pour son image d’homme à poigne, renforcée par un goût prononcé pour la cigarette et les armes à feu.

  • STÖCKER ADOLF (1835-1909)

    • Écrit par Abraham TSITRONE
    • 1 569 mots

    Pasteur luthérien, Adolf Stöcker fonda en Allemagne, en 1878, avec l'appui discret de la Cour, le Parti social-chrétien dont le but déclaré était de lutter contre le Parti libéral et le Parti socio-démocrate et de promouvoir le progrès social « dans le sens de la doctrine évangélique ». En réalité, ce parti devint la première organisation antisémite du pays et de toute l'Europe.

  • LEFÈVRE THÉO (1914-1973)

    • Écrit par Louis METZEMAEKERS
    • 1 704 mots

    Après la Seconde Guerre mondiale, il est l'un des fondateurs du Parti social-chrétien (P.S.C.) qu'il préside de 1950 à 1961. En 1946, il avait été élu député. Pendant la « guerre scolaire » en Belgique, il s'affronte avec les socialistes et les libéraux sur la question de la liberté de l'enseignement catholique. Il est l'un des artisans du pacte scolaire conclu en 1953 entre les trois partis traditionnels.

  • KETTELER WILHELM EMANUEL baron von (1811-1877)

    • Écrit par François IGERSHEIM
    • 1 990 mots

    Les six grands sermons qu'il prononce à la fin de 1848 marquent le passage de l'action charitable au mouvement « social-chrétien » allemand. Ces thèmes occuperont désormais une grande place dans les débats de l'assemblée annuelle de l'Association des catholiques allemands (Katholikentag). Nommé au siège archiépiscopal de Mayence en 1850, il est l'un des porte-parole écoutés des évêques de l'Allemagne du Sud (province ecclésiastique du Rhin supérieur) lorsqu'ils revendiquent les libertés ecclésiastiques dont l'exercice doit être soustrait au contrôle de l'État : nomination aux fonctions ecclésiastiques, gestion des biens ecclésiastiques, formation des futurs prêtres, liberté des écoles catholiques.

  • CALDERA RAFAEL (1916-2009 )

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 1 873 mots

    Il est élu au Congrès en 1941 et, en 1947, après avoir fondé le Parti social-chrétien Copei (Comité d'organisation politique des élections indépendantes), il se présente à l'élection présidentielle ; il tentera sa chance quatre fois de suite, sans succès. À la chute de la dictature militaire en 1958, il signe un accord avec les trois autres grands partis politiques pour restaurer et garantir la démocratie.

Recherche alphabétique

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