Solécisme
- Nom masculin singulier
Définition
- construction syntaxique fautive
"solécisme" dans l'encyclopédie
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STOÏCISME
- Écrit par Jacques BRUNSCHWIG et Urs EGLI
- 40 890 mots
- 2 médias
), natif de la ville de Cilicie qui a donné son nom au solécisme. Par son génie de dialecticien et la rigueur de son dogmatisme, Chrysippe a mérité d'être appelé le second fondateur du stoïcisme : s'il n'y avait pas eu Chrysippe, disait-on, il n'y aurait pas eu de Portique. Grand travailleur, infatigable écrivain, il avait la réputation de noircir cinq cents lignes par jour ; on lui attribue plus de sept cents ouvrages dont les titres nous sont partiellement connus.
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NÉO-CLASSICISME, arts
- Écrit par Mario PRAZ et Daniel RABREAU
- 44 407 mots
- 13 médias
Bref, avec le néo-classicisme, on jeta les bases d'une véritable syntaxe de la décoration intérieure, qui n'admettait pas de solécisme. Le rationalisme dans l'ameublement, assorti aux goûts du propriétaire, avait trouvé un apôtre dans le théoricien Francesco Milizia (Principi d'architettura civile, 1781) et il aboutissait à des projets comme celui de Percier et Fontaine pour la chambre à coucher d'un Monsieur M.
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GRAMMAIRE
- Écrit par Jean-Claude MILNER
- 47 218 mots
Ainsi les grammairiens grecs avaient-ils distingué le solécisme, qui est une violation de la syntaxe, et le barbarisme, qui est une violation de la morphologie. En bonne logique, la grammaire doit traiter de manière séparée ou tout au moins spécifique ces divers paramètres de l'opposition correct/incorrect. La conséquence est que la grammaire sera constituée de plusieurs parties : syntaxe, morphologie, phonétique (ou phonologie), lexique.