Solfège
- Nom masculin singulier
Définition
- en musique, notation de la musique
- en musique, étude des éléments de notation de la musique
- en musique, manuel servant à cet apprentissage
"solfège" dans l'encyclopédie
-
SOLFÈGE
- Écrit par Robert SIOHAN
- 13 862 mots
- 1 média
Le mot « solfège » est employé dans deux sens différents : d'une manière très générale, il désigne l'ensemble des connaissances nécessaires à la lecture et à la réalisation sonore des signes musicaux (apprendre le solfège) ; par extension, il s'applique aux ouvrages spécialisés destinés à l'acquisition de ces connaissances (les Solfèges de Panseron, de Danhauser ; plus récemment les ouvrages d'A.
-
ALKAN CHARLES-VALENTIN MORHANGE dit (1813-1888)
- Écrit par Alain PÂRIS
- 2 250 mots
À l'exception d'une courte période où il enseigne le solfège à temps partiel au Conservatoire de Paris (1829-1836), il n'occupe aucune fonction officielle. Il s'oriente bientôt vers la musique de chambre et l'enseignement, à titre privé. Une première éclipse interrompt sa carrière entre 1838 et 1844 et, après avoir refait surface pendant quatre ans, il quitte Paris pour n'y revenir que vingt-cinq ans plus tard (1848-1873).
-
SOLER père ANTONIO (1729-1783)
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 2 437 mots
Formé à l'Escolania de Montserrat, où il entra à l'âge de six ans, il apprit le solfège, l'orgue et la composition. Il fut maître de chapelle à la cathédrale de Lérida, mais renonça à ces fonctions pour prendre l'habit des Hiéronymites au monastère royal de l'Escurial (1752), où il fit profession religieuse l'année suivante. Il fut organiste et maître de chapelle du couvent jusqu'à sa mort.
-
CHAMPAGNE CLAUDE (1891-1965)
- Écrit par Juliette GARRIGUES
- 7 090 mots
« Claude Champagne fut un véritable pionnier à Montréal dans l'enseignement du solfège, de l'harmonie, du contrepoint, de la fugue, de l'orchestration et de la composition au Québec », a déclaré la musicologue québécoise Andrée Desautels. Joseph-Arthur-Adonaï Champagne – son admiration pour Claude Debussy lui fera adopter le prénom de Claude – naît à Montréal le 27 mai 1891.
-
HUGON GEORGES (1904-1980)
- Écrit par Alain PÂRIS
- 2 534 mots
Premier prix de piano (1921), d'harmonie (1921) et de composition (1930), il se tourne vite vers l'enseignement : de 1934 à 1940, il dirige le conservatoire de Boulogne-sur-Mer ; en 1941, il revient à Paris, où il enseigne le solfège au Conservatoire avant de se voir confier en 1948 une classe d'harmonie. Ses premières œuvres importantes remontent au début des années 1930 : Nocturne pour violon et piano (1930), Au Nord, fresque symphonique d'après Verhaeren (1930), un quatuor à cordes (1931), Prélude et quatre églogues de Virgile, pour flûte, clarinette, cor et harpe (1931), un ballet d'après Flaubert, La Reine de Saba (1933).