Solo
- Nom masculin singulier
Définition
Employé comme adjectif
- qui joue seul
Employé comme nom
- en musique, morceau chanté ou joué par un seul artiste, avec ou sans accompagnement
- en chorégraphie, partie d'un ballet dansé par un seul artiste
Expressions autour de ce mot
- en solo : en solitaire
"solo" dans l'encyclopédie
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SOLO, fleuve
- Écrit par Jean PIWNIK
- 984 mots
Des restes d'Homo erectus furent découverts dans les alluvions du Solo.
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MANO SOLO (1963-2010)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 528 mots
Mano Solo meurt à quarante-six ans, le 10 janvier 2010, à l'hôpital Bichat, à Paris, où il avait été hospitalisé en novembre 2009, peu après un dernier concert à l'Olympia.
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Chloé Meets Gershwin, PETRUCCIANI (Michel)
- Écrit par Eugène LLEDO
- 1 858 mots
Michel Petrucciani confiait au magazine Jazzman en 1998 : «Je considère que le solo est la plus belle formule pour moi. J'y suis vraiment libre.» Comme en témoigne ce fragment, le piano solo lui permet en effet un enchaînement libre d'idées musicales qui transforme l'exercice en une sorte de conte sonore. On pense aux digressions musicales d'un Art Tatum, avec lequel il partage une main gauche puissante et précise qui est plus qu'un simple accompagnement.
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ROSE LEONARD (1918-1984)
- Écrit par Alain PÂRIS
- 2 244 mots
avant de devenir violoncelle solo de l'Orchestre de Cleveland (1939-1943), violoncelle solo assistant (1943) puis titulaire (1944-1951) de l'Orchestre philharmonique de New York, sous la direction notamment de Bruno Walter, Leopold Stokowski et Dimitri Mitropoulos. En 1944, il commence une carrière de soliste dans laquelle la musique de chambre occupe une place prépondérante : en trio avec Isaac Stern (violon) et Eugene Istomin (piano), il enregistre notamment l'intégrale des trios de Beethoven, de Schubert et de Brahms.
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FERNEYHOUGH BRIAN (1943- )
- Écrit par Alain FÉRON
- 6 844 mots
La série des Time and Motion Study (la première est pour clarinette basse solo, 1971-1977 ; la deuxième pour violoncelle solo avec amplification, 1973-1976 ; la troisième pour seize voix solistes, percussion et électronique, 1974) ainsi que Unity Capsule, pour flûte solo (1976), développent encore plus la problématique de l'interprète face à son instrument grâce à une méthodologie quasi philosophique selon laquelle « l'art en tant qu'expansion dans le monde d'une science subjective postule une re-synthèse utopique de la perception au niveau de l'observateur et non pas à celui de ce qui est observé ».