Sono
- Nom féminin singulier
- Interjection
Définition
- élément du latin "sonus" : son
- (abréviation de sono risation) ensemble des appareils utilisés pour sono riser un lieu
"sono" dans l'encyclopédie
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BRUSATI FRANCO (1922-1993)
- Écrit par Jean A. GILI
- 3 596 mots
Il travaille notamment avec Mario Camerini (Mara, fille sauvage, Due mogli sono troppe, Une femme pour une nuit, Gli eroi della domenica, Ulysse). Il collabore aussi avec Luciano Emmer (Dimanche d'août), Alberto Lattuada (Anna, Les Adolescentes), Steno et Mario Monicelli (Les Infidèles), Franco Rossi (Smog), Franco Zeffirelli (Roméo et Juliette), Valerio Zurlini (Seduto alla sua destra).
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LEVI CARLO (1902-1975)
- Écrit par Giovanni IOPPOLO
- 1 743 mots
Par la suite, Levi s'intéressera de nouveau au Sud en proposant successivement un texte sur la Sicile (Le Parole sono pietre, 1955) et sur la Sardaigne (Tutto il miele è finito, 1964). La critique sociologique et politique de l'Allemagne qu'il nous livre dans les pages de la chronique écrite en 1959, Double Nuit des tilleuls (La Doppia Notte dei tigli), se distingue de ces premiers récits, qui ont fait de lui un classique italien contemporain, et cela même s'il se considérait d'abord comme un peintre.
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CABALETTA
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 473 mots
Dans l'opéra italien du xixe siècle, la cabaletta désigne soit une aria brève au rythme rapide comportant des sections à reprises (les exemples abondent dans les opéras de Rossini, comme « Io sono docile » du Barbier de Séville, 1816, ou encore « Non più mesta » de La Cenerentola, 1817), soit la conclusion brillante d'une aria en deux parties qui varie à la réexposition, comme on en trouve chez Bellini (« Ah ! non giunge » de La sonnambula, 1831, « Si, fino all'ore estreme » de Norma, 1831), Donizetti (« Quando rapito in estasi » de Lucia di Lammermoor, 1835) et Verdi.
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CAVATINE
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 1 937 mots
On peut citer comme cavatines célèbres celles du Matrimonio segreto (Cimarosa), « Io ti lascio, amato oggetto » du Farnace (Traetta), « L'ho perduta, me meschina », « Se vuol ballare » et « Porgi amor, qualche » des Noces de Figaro (Mozart), « Ecco ridente in cielo », « Largo al factotum » et « Io sono docile » du Barbier de Séville (Rossini), du Freischütz (acte III) et d'Euryanthe (acte I) de Weber, « Tacea la notte placida » du Trouvère (Verdi), « Regnava nel silenzio » de Lucia di Lammermoor et « So anch'io la virtù magica » de Don Pasquale (Donizetti), « Salut, demeure chaste et pure », de Faust (Gounod).
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FUTABATEI SHIMEI (1864-1909)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 322 mots
Entre 1896 et 1909, il traduit notamment des œuvres de Tourgueniev, de Gogol, de Tolstoï et de Gorki, rédige des articles sur l'espéranto, la critique littéraire et la société et écrit deux romans : Sono omokage (1906, « Son image ») et Heibon (1907, « Quelconque »). En 1908, Futabatei se rend en Russie dans le cadre de son travail en tant que correspondant du journal Asahi, mais il tombe malade et décède au cours du voyage qui le ramène au Japon.