Souhaiter
- Verbe à l'infinitif
Définition
- désirer
- exprimer un vœu ou un compliment
"souhaiter" dans l'encyclopédie
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LANGENSTEIN HEINRICH VON (1325-1397)
- Écrit par Marcel PACAUT
- 785 mots
Il réussit même à entraîner l'université de Paris à souhaiter officiellement la réunion d'un tel concile (Epistola pacis, Epistola concilii pacis, 1381).
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TAÏRA YOSHIHISA (1937-2005)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 941 mots
Sa découverte de la musique de Claude Debussy, d'Olivier Messiaen et d'André Jolivet lui fait souhaiter de venir étudier en France. Il réalise son vœu en 1966, s'inscrivant aux cours de composition du Conservatoire de Paris dans la classe de Jolivet. L'éloignement de son pays natal lui fait mesurer son enracinement dans l'art japonais traditionnel.
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RADICHTCHEV ALEXANDRE NIKOLAÏEVITCH (1749-1802)
- Écrit par Jean-Louis VAN REGEMORTER
- 2 060 mots
Ce Voyage de Saint-Pétersbourg à Moscou (Putešestvie iz Peterburga v Moskvu) décrit l'itinéraire spirituel d'un noble humaniste qui découvre la réalité sociale et perd progressivement ses illusions sur la possibilité de réprimer les abus par des réformes législatives ; il en vient à souhaiter une jacquerie généralisée, fût-ce au prix d'un massacre des nobles.
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DUPLICE ou DOUBLE ALLIANCE
- Écrit par Jean-Pierre MOUSSON-LESTANG
- 2 182 mots
Ayant provisoirement échoué à mettre Russes et Autrichiens « dans le même attelage », Bismarck traita alors avec la seule Autriche, à laquelle la récente humiliation russe faisait souhaiter l'alliance allemande. La Duplice, traité secret pour une durée de cinq ans renouvelable, disposait que les deux États se prêteraient assistance réciproque avec la totalité de leur puissance militaire en cas d'attaque russe et qu'ils observeraient une « neutralité bienveillante » en cas d'attaque venue d'un autre État.
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EGMONT LAMORAL comte d' (1522-1568)
- Écrit par Joël SCHMIDT
- 2 372 mots
Dans l'histoire des Pays-Bas, il est l'un des premiers à souhaiter soustraire son pays à la tutelle étrangère. Il a servi loyalement l'Espagne au début de sa carrière. Il a même accompagné l'empereur Charles Quint dans son expédition contre Alger. Nommé, en raison des services rendus, capitaine général de la cavalerie royale, puis chevalier de la Toison d'or, il est l'un des protégés et des favoris de Charles Quint, dont il sait servir les intérêts et les ambitions.