Sous-espèce
- Nom féminin singulier
Définition
- en histoire, subdivision d'une espèce
"sous-espèce" dans l'encyclopédie
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OIE RIEUSE
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 845 mots
albifrons) passe l'hiver en Europe de l'Ouest, dans les îles Britanniques ou en Asie centrale, tandis que la sous-espèce la plus grande (A. a. gambelli) hiverne uniquement dans la vallée de Sacramento, en Californie.
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HOMO SAPIENS SAPIENS
- Écrit par Bernard VANDERMEERSCH
- 3 879 mots
On regroupe dans la sous-espèce Homo sapiens sapiens toutes les populations humaines vivantes et toutes celles qui les ont précédées et qui leur étaient très similaires. Cet ensemble est souvent appelé « Hommes modernes » ou « Hommes de morphologie moderne ». Les caractéristiques générales sont celles de l'espèce Homo sapiens, mais avec une capacité cérébrale élevée atteignant 1 450 centimètres cubes en moyenne.
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BERGERONNETTE
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 095 mots
La sous-espèce britannique, plus foncée que la bergeronnette grise, est appelée bergeronnette de Yarell. On peut cependant l'observer de manière occasionnelle sur les bords continentaux de la Manche et de la mer du Nord. Seule la bergeronnette printanière (Motacilla flava), une habituée des campagnes françaises, se rencontre aussi en Amérique. Elle peut nicher en Alaska et migrer jusqu'en Asie.
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CARACARA
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 097 mots
Aux États-Unis, on rencontre une sous-espèce appelée caracara huppé d'Audubon (P. p. auduboni). Le caracara du Nord (Caracara cheriway), présent en Floride, dans le sud-ouest des États-Unis, en Amérique centrale, est l'emblème national du Mexique. D'autres espèces sont présentes en Amérique du Sud : le caracara chimango (Milvago chimango) et le caracara noir (Daptrius ater).
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XYLELLA FASTIDIOSA
- Écrit par Charles MANCEAU
- 7 840 mots
- 1 média
Elle n’appartient pas à une sous-espèce déjà identifiée bien qu’elle soit génétiquement proche des souches de la sous-espèce pauca observée au Brésil. L’origine du foyer observé en Italie est encore une énigme. La croissance des échanges commerciaux de végétaux au niveau mondial s’intensifie et entraîne une augmentation des risques de dispersion des agents pathogènes.