Sous-exposition

"sous-exposition" dans l'encyclopédie

• BALLANGER FÉLICIA (1971- )

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 1 298 mots

  Avec trois médailles d’or aux jeux Olympiques et dix titres mondiaux, Félicia Ballanger, qui fut en son temps une championne quelque peu méconnue en raison de la sous-exposition médiatique de sa discipline, présente l’un des plus beaux palmarès du sport français.

• BOKANOWSKI PATRICK (1943- )

  • Écrit par Raphaël BASSAN
  • 5 773 mots

  Si les films de Bokanowski utilisent une très vaste palette de stratégies esthétiques (filmage image par image, sur et sous exposition des plans, ralentissements et accélérations du mouvement, interventions chimiques sur l'émulsion...), ils se présentent toujours comme des rêves éveillés, dotés d'une logique interne où l'on oublie la technique pour se laisser hypnotiser par ces hallucinations sur pellicule de facture sophistiquée.

• BOIS

  • Écrit par Marie Elisabeth BORREDON, Édouard BOUREAU, Xavier DÉGLISE et Carlos VACA-GARCIA
  • 50 073 mots
  • 11 médias

  La couleur n'est pas stable dans le temps et évolue sous exposition à la lumière. Les résineux jaunissent plus vite que les feuillus, puisqu'ils ont plus de lignine, qui est responsable de la photodégradation du bois. À plus long terme, avec la pluie et le vent, il y a érosion. On observe alors un accroissement de la rugosité de surface dû principalement à la dégradation de la lignine en présence des ultraviolets solaires.

• AUTO-ORGANISATION

  • Écrit par Henri ATLAN
  • 34 414 mots
  • 1 média

  Alors, des connexions spécifiques sont établies automatiquement, de façon non programmée explicitement, par application des règles non spécifiques sous exposition du réseau aux stimuli externes, c'est-à-dire aux échantillons différents de la forme qui, implicitement, définissent la classe. L'auto-organisation de la structure spécifique des connexions est donc réelle en ce sens qu'elle n'est pas programmée explicitement.

• CINÉMA (Aspects généraux) Les techniques du cinéma

  • Écrit par Michel BAPTISTE, Pierre BRARD, Jean COLLET, Michel FAVREAU et Tony GAUTHIER
  • 96 486 mots
  • 17 médias

  Et la plus grande partie de l'art de la prise de vues en extérieurs ou en décors naturels consiste à interpréter les contrastes de la nature, à les réduire, à éclairer les parties d'ombre pour que l'émulsion ne donne pas de grandes surfaces charbonneuses (sous-exposition) avec de grandes surfaces blanches (surexposition). Outre les installations des « plateaux », les studios disposent de salles de montage et de salles de projection des « rushes », équipés en « double bande » ; cela permet la vision de la copie de travail image en synchronisme avec la bande sonore magnétique perforée, « repiquée » à partir de la bande lisse originale, et conduit à un premier choix des prises jugées bonnes par le réalisateur.