Soyeuse

"soyeuse" dans l'encyclopédie

• CHINCHILLA

  • Écrit par Marie-Claude BOMSEL
  • 1 869 mots

  Sa fourrure, de couleur gris argenté, est soyeuse et épaisse. Ses pattes postérieures plus longues que les pattes antérieures, montrent son adaptation au saut. C'est aussi un bon grimpeur. Son espérance de vie est de l'ordre de huit ans. Sa taille est d'environ 25 centimètres et son poids de l'ordre de 400 grammes pour le mâle et de 500 à 800 grammes pour la femelle.

• LOIR

  • Écrit par Marie-Claude BOMSEL
  • 2 269 mots
  • 1 média

  Leurs doigts sont armés de griffes, ce qui en fait d'excellents grimpeurs et leur queue est recouverte d'une fourrure soyeuse. Suivant les espèces, leur taille varie de 10 à 35 centimètres (queue comprise) et leur poids de 15 à 200 grammes. Leur espérance de vie est de trois à six ans. Principalement herbivore, le loir gris d'Europe (Glis glis) se nourrit de noix, de fruits et de graines ; d'autres espèces sont plus omnivores et consomment des insectes, des vers de terre, des araignées et des œufs.

• MARTRE

  • Écrit par Marie-Claude BOMSEL
  • 2 419 mots

  Carnivore de taille petite à moyenne, possédant une longue queue et une fourrure soyeuse. Répartition géographique : Europe, Asie, nord de l'Amérique du Nord. Habitat : essentiellement zones boisées (conifères, feuillus), parfois broussailles (régions tropicales). Classe : Mammifères ; ordre : Carnivores ; sous-ordre : Fissipèdes ; famille : Mustélidés.

• FROUNBERG IVAR (1950- )

  • Écrit par Alain FÉRON
  • 6 956 mots

  Le caractère faussement improvisé de sa musique se perçoit avant tout dans ses pages orchestrales, où l'ambiance minimaliste et répétitive se pare d'une orchestration soyeuse, glissant sur un temps suspendu, jouant des intervalles et du rythme pour fixer ce temps dans un espace que ces éléments particuliers sont chargés de sculpter. Frounberg considère d'ailleurs tous les éléments musicaux comme des objets sonores : une attitude qui constitue son lien le plus profond avec Feldman.

• FRAGONARD JEAN HONORÉ (1732-1806)

  • Écrit par Georges BRUNEL
  • 9 011 mots
  • 4 médias

  Il est capable de les déployer aussi bien dans la nature morte, comme le montrent le guéridon de bois sombre et l'écharpe soyeuse à raies blanches du Baiser à la dérobée (musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg). On y reconnaît d'emblée l'élève de Chardin. Or c'est ce sens instinctif des objets comme des êtres vivants qui nous donne la clef de sa peinture galante.