Species
- Nom masculin invariant en nombre
Définition
- (vieilli) recueil d'histoire naturelle décrivant les espèces animales
"species" dans l'encyclopédie
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CITES (Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora)
- Écrit par Alain ZECCHINI
- 7 162 mots
La CITES (Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora), convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction, constitue l'un des accords multilatéraux les plus importants pour la biodiversité. Avec 161 pays contractants en avril 2003, elle réglemente les échanges interétatiques de faune et de flore sauvages dont la survie est mise en jeu par leur exploitation.
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LINNÉ CARL VON (repères chronologiques)
- Écrit par Pascal DURIS
- 2 186 mots
1753 Publication de Species plantarum, ouvrage qui recense et classe quelque 8 000 plantes du monde entier. 1754 Il est fait chevalier de l'ordre royal de l'Étoile polaire. Publication de la cinquième édition de Genera plantarum. Cet ouvrage, ainsi que Species plantarum, constituent le point de départ de la nomenclature moderne de la plupart des végétaux non fossiles.
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WALLACE ALFRED RUSSEL (1823-1913)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 2 731 mots
- 1 média
En 1855, il rédige On the Law Which Has Regulated the Introduction of New Species et, en 1858, il envoie à Darwin un essai sur la sélection naturelle : On the Tendency of Varieties to Depart Indefinitely from Original Type. Darwin, y retrouvant ses propres théories établies depuis 1844 et préparant la publication de la célèbre Origin of Species (1859), fait lire, le 1er juillet 1858, devant la Linnaean Society de Londres, l'essai de Wallace et un résumé de son propre ouvrage.
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SYSTEMA NATURAE (C. von Linné)
- Écrit par Pascal DURIS
- 1 231 mots
- 1 média
), nomenclature qu'il avait déjà appliquée aux plantes dans son Species plantarum de 1753. Les années 1753 et 1758 marquent ainsi, respectivement, les points de départ de la nomenclature botanique et zoologique moderne.
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BATESON WILLIAM (1861-1926)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 1 156 mots
Lorsqu'en 1900 Bateson prend connaissance des lois de Mendel, il est biologiste à Cambridge et ses Materials for the Study of Variation Treated with Especial Regards to Discontinuity in the Origin of Species (1894) sont une thèse rigoureuse, mais révolutionnaire, sur les variations discontinues. À partir de 1900, il vérifie les lois mendéliennes, les répand et les défend en Grande-Bretagne (Mendel's Principles of Heredity, 1902) ; il montre leur application aux animaux et aux plantes ainsi qu'aux maladies humaines héréditaires.