Tétracarbonyle
- Nom masculin singulier
Définition
- en chimie, composé comportant quatre radicaux carbonés (-CO--)
"tétracarbonyle" dans l'encyclopédie
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ESTERS
- Écrit par Jacques METZGER
- 11 578 mots
- 1 média
La même réaction est catalysée par l'anion tétracarbonyle cobalt (CO)4Co-. La condensation de l'acétaldéhyde catalysée par l'éthylate d'aluminium (réaction de Tischtschenko) est un procédé industriel de fabrication de l'acétate d'éthyle. Le réarrangement de la cyclohexanone par l'acide peracétique (réaction de Baeyer-Villiger) est appliqué industriellement pour la fabrication de l'ε-caprolactone, monomère de résines coulables de polyesters (réaction).
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COBALT
- Écrit par Jean AMIEL
- 16 325 mots
- 4 médias
Mais on connaît aussi quelques composés correspondant aux degrés inhabituels : − 1 dans l'hydrure de cobalt-tétracarbonyle H[Co(CO)4] qui a un caractère acide ; + 1 dans le perchlorate de cobalt (I)-bis (dipyridine) [Co(dipyr.)2][ClO4], par exemple ; + 4, enfin, dans les cobaltites (IV) de baryum ou de strontium : Ba2CoO4 ou Sr2CoO4. Degré d'oxydation + 2 Les sels cobalteux donnent des hydrates et des solutions aqueuses colorées en rose.
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CARBONE
- Écrit par Jean AMIEL et Henry BRUSSET
- 45 413 mots
- 11 médias
Dans le cas du nickel tétracarbonyle, la distance Ni−C est de 0,182 nm au lieu de 0,216, la distance C−O est de 0,115 à 0,116 nm au lieu de 0,113 nm dans l'oxyde de carbone et 0,122 nm dans le carbonyle de l'acétone. Pauling attribuait un caractère de double liaison évalué à environ 78 p. 100 pour la liaison Ni−C ; il proposait une résonance entre cinq structures limites comportant de 0 à 4 doubles liaisons Ni=C.