Tabatière
- Nom féminin singulier
Définition
- petite boîte où on conserve le tabac à priser
- en architecture, lucarne de comble
- en technologie, ouvrière travaillant dans une fabrique de dérivés du tabac
"tabatière" dans l'encyclopédie
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L'ATTAIGNANT GABRIEL CHARLES DE (1697-1779)
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 449 mots
Il est l'auteur d'une chanson toujours populaire : J'ai du bon tabac dans ma tabatière.
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LIADOV ANATOLI KONSTANTINOVITCH (1855-1914)
- Écrit par Michel-Rostislav HOFMANN
- 1 561 mots
Ayant fait ses études musicales sous la direction de Rimski-Korsakov, il composa ses Bagatelles (Birioulki), ses Arabesques, sa Tabatière à musique et des Préludes. On retrouve l'influence de Chopin et de Schumann dans ses œuvres de jeunesse. Plus tard, il s'orienta vers la musique symphonique : une symphonie en si mineur affirma son talent et précéda des poèmes symphoniques comme Baba-Yaga, Kikimora, Le Lac enchanté (une musique délicatement impressionniste d'une limpidité féerique), un très beau Fragment tiré de l'Apocalypse.
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ARMES Armes légères
- Écrit par François AMBROSI et Alain BRU
- 65 226 mots
- 6 médias
Mais les autres puissances européennes ne suivirent qu'après le conflit austro-prussien de 1866 : un retard de vingt-cinq ans, qui fut comblé en partie – et mal – par la transformation (culasse « à tabatière ») des vieux fusils du type xviiie siècle, en partie par le début de production d'équivalents améliorés du Dreyse, tel le fameux Chassepot français adopté en 1866 (meilleure tenue balistique du calibre de 11 mm, limite inférieure des calibres à poudre noire).
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ROCOCO
- Écrit par Georges BRUNEL, François H. DOWLEY et Pierre-Paul LACAS
- 115 817 mots
- 14 médias
Les termes qui désignent les styles sont très souvent, dans leur acception primitive, des mots péjoratifs : gothique, maniérisme, baroque, pompier ont été ou sont encore employés avec une valeur polémique. Ils permettent de qualifier, ou plutôt de disqualifier, le goût réputé mauvais d'une époque révolue. L'historien se trouve ainsi hériter de notions vagues et d'un usage malaisé ; la polémique ne s'embarrasse guère en effet de nuances, sa loi veut au contraire qu'elle amalgame sous un seul qualificatif désobligeant ou injurieux toutes sortes de manifestations et de phénomènes pour mieux les rejeter en bloc.