Tag
- Nom masculin singulier
Définition
- (mot américain) graffiti tracé sur des façades ou des lieux publics
"tag" dans l'encyclopédie
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KAWALEROWICZ JERZY (1922-2007)
- Écrit par Suzanne LIANDRAT-GUIGUES
- 5 103 mots
On reconnaît quelques veines narratives : Pharaon et Quo vadis ? (2001) pour leur vision de l'antiquité ; Mère Jeanne des Anges, Maddalena (1970) ou L'Auberge du vieux Tag (1982) pour leur évocation de la question religieuse ; La Mort d'un Président (1977) et L'Otage de l'Europe (1989) se veulent des pages de l'histoire tandis que La Vraie Fin de la guerre et Pourquoi ? (1995) abordent la question du déporté politique, etc.
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BASQUIAT JEAN MICHEL (1960-1988)
- Écrit par Élisabeth LEBOVICI
- 5 292 mots
L'artiste rencontre rapidement le succès, qui coïncide avec l'intérêt et la reconnaissance, au même moment, des manifestations artistiques urbaines et populaires tel que le « tag ». Sa mort brutale, qui survient alors qu'il est encore très jeune et en pleine ascension, a contribué à faire de lui une légende et une figure emblématique des années 1980.
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DOHERTY PETER (1940- )
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 499 mots
L'un de ces signaux est un fragment du virus infectieux que la cellule présente à sa surface ; l'autre est une marque (tag) individuelle faisant partie des antigènes du complexe majeur d'histocompatibilité de la cellule, et qui permet au système immunitaire de reconnaître que cette cellule appartient à l'organisme. Ce concept de reconnaissance simultanée de molécules appartenant à l'organisme et de molécules étrangères est à la base d'une nouvelle vision des mécanismes généraux utilisés par le système immunitaire à l'échelon cellulaire.
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KLEBE GISELHER (1925-2009)
- Écrit par Brigitte MASSIN et Encyclopædia Universalis
- 2 641 mots
Il s'est imposé par ses opéras, parmi lesquels : Die Räuber, d'après Les Brigands de Schiller, 1957 ; Die tödlichen Wünsche, d'après La Peau de chagrin de Balzac, 1959 ; Alkmene, d'après Amphitryon de Kleist, 1961 ; Figaro lässt sich scheiden, d'après Le Divorce de Figaro, de Ödön von Horváth, 1963 ; Ein wahrer Held, d'après Le Baladin du monde occidental de Synge, 1975 ; Der jüngste Tag, d'après la pièce Le Jugement dernier de Ödön von Horváth, 1980 ; Die Fastnachtsbeichte, d'après la nouvelle La Confession du carnaval de Carl Zuckmayer, 1983 ; Gervaise Macquart, d'après L'Assommoir de Zola, 1995.
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BALÁZS BÉLA (1884-1949)
- Écrit par Véronique KLAUBER
- 2 956 mots
- 1 média
La même année, il inaugure une nouvelle rubrique dans le journal autrichien Der Tag : celle des critiques cinématographiques. Il est le premier à proclamer la naissance du septième art dans sa théorie du cinéma, Der sichtbare Mensch (L'Homme visible, 1924). Le succès de ce livre, dont l'originalité réside dans l'approche poétique des images, surtout celles des « premiers plans », lui vaut une invitation à Berlin où il vit de 1926 à 1931.