Taillandier
- Nom masculin singulier
Définition
- celui qui fabrique ou commercialise des outils tranchants (cisailles, bêches, sécateurs, etc.)
"taillandier" dans l'encyclopédie
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CENTENAIRE DE LA N.R.F.
- Écrit par Marc CERISUELO
- 5 743 mots
entre guerre et paix, Taillandier). Mais les morceaux de choix commémoratifs furent d'évidence réservés à la maison mère. L'ouvrage d'Alban Cerisier, Une histoire de la N.R.F. (Gallimard, 2009), se présente comme la première véritable histoire de la revue. Elle est rédigée par l'« historien maison », ce qui présente un certain nombre d'avantages et autant d'inconvénients.
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PETÖFI SÁNDOR (1823-1849)
- Écrit par Lorant CZIGANY
- 7 879 mots
Les difficultés de traduction n'ont pas empêché la diffusion de ses œuvres dans de nombreux pays à partir de 1845 ; en France, Saint-René Taillandier l'introduisit dans la Revue des Deux Mondes en 1851. « L'instinct est mon guide » Fils d'un aubergiste de campagne et d'une servante, Petőfi, né à Kiskőrös, eut une enfance et une adolescence assez mouvementées.
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ARAGON LOUIS (1897-1982)
- Écrit par Daniel BOUGNOUX
- 22 834 mots
- 1 média
Sa quête toujours relancée d'unité et de clarté passe par plusieurs enfers, individuels ou collectifs : Aragon fit deux guerres, sans compter la guerre froide, et il se battit aussi jusqu'à la fin pour savoir, selon le beau titre du livre de François Taillandier, « Quel est celui qu'on prend pour moi »... Sa propre dislocation appelle le ravage amoureux qui ne peut nullement l'apaiser, au contraire : « Il n'est plus terrible loi / Qu'à vivre double », résume un distique du Fou d'Elsa.
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ARS NOVA
- Écrit par Roger BLANCHARD
- 34 965 mots
- 2 médias
D'autres noms nous sont parvenus, mais ils représentent l'ars nova à son déclin ; mentionnons les Parisiens Jean Vaillant et Pierre Taillandier ; Mathieu Solage, qui servit le duc de Berry ; Jacques de Senlèches, François Andrieu, Trebor, Cuvelier et, au début du xve siècle, ceux que Martin Le Franc cite en son Champion des Dames comme ayant « enchanté tout Paris » : Carmen, Césaris et Tapissier.
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POÉSIE
- Écrit par Michel COLLOT et Dominique VIART
- 51 662 mots
- 2 médias
Les procédés classiques de l'harmonie imitative ont suscité diverses tentatives de systématisation, depuis les exercices poétiques du chevalier de Piis, « Tantôt du taillandier, tantôt du maréchal / Imitant par des T le travail matinal », jusqu'aux essais d'« instrumentation verbale » de René Ghil. Mais on sait que, en dehors de l'onomatopée, le « symbolisme des sons », s'il peut s'appuyer sur certaines caractéristiques articulatoires (le i, voyelle antérieure, est généralement ressenti comme plus clair que le ou, voyelle postérieure), est pour l'essentiel affaire d'appréciation subjective, et surtout de contexte : si jour est plus sombre que nuit, il est possible de l'éclaircir en l'insérant dans un environnement phonétique et sémantique évoquant la transparence, comme le fait Racine quand il fait dire à Hippolyte : « Le jour n'est pas plus pur que le fond de mon cœur.