Teocalli
Issu de la forme : teocalli
- Nom masculin singulier
Définition
- en histoire, temple aztèque en forme de pyramide tronquée
Synonyme
- teocali
"teocalli" dans l'encyclopédie
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TLALOC
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 3 130 mots
- 4 médias
Le grand temple (Teocalli) de Tenochtitlán, la capitale aztèque, supportait, sur sa haute pyramide, deux sanctuaires de taille égale : l'un, consacré à Huitzilopochtli, était peint en rouge et blanc, et l'autre, voué à Tlaloc, en bleu et blanc. Le grand prêtre du dieu de la pluie, le Quetzalcóatl Tlaloc Tlamacazqui (le Serpent à plumes, prêtre de Tlaloc), avait une autorité, un titre et un rang égaux à ceux du grand prêtre du dieu du Soleil.
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GÉNOCIDE
- Écrit par Louis SALA-MOLINS
- 46 763 mots
- 1 média
On « hiérarchisera » autant qu'on voudra, non plus sur le modèle de la pyramide égyptienne culminant en un point unique, mais sur celui de la pyramide aztèque culminant au plat du téocalli, la maison des dieux. Parce que l'histoire du génocide se lit au pluriel.
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AZTÈQUES
- Écrit par Rosario ACOSTA NIEVA, Alexandra BIAR et Mireille SIMONI
- 69 191 mots
- 22 médias
En 2017, la surface fouillée représentait 18 300 mètres carrés ; les découvertes les plus significatives sont la pyramide principale ou Huey Teocalli – en langue nahuatl –, la maison des Aigles, 15 sanctuaires, 171 offrandes, ainsi que d’innombrables sculptures et peintures murales. Une recherche pluridisciplinaire L’équipe d’archéologues du projet Templo Mayor a fait appel à diverses disciplines pour assurer la recherche sur le terrain et mieux interpréter les découvertes qui en découlent.
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CARAÏBES Littératures
- Écrit par Jean-Pierre DURIX, Claude FELL, Jean-Louis JOUBERT et Oruno D. LARA
- 85 694 mots
- 4 médias
La nostalgie de la patrie perdue hante toute sa poésie, dont les sommets sont les deux odes Sur le teocalli de Cholula et Niagara et dont les vers, de facture classique, sont traversés par l'émotion suscitée par l'exil, le spectacle de la nature, l'expérience de la douleur. La mélancolie imprègne également les poèmes, d'inspiration plus populaire, de l'esclave noir Juan Francisco Manzano (1797-1854), auteur par ailleurs d'une célèbre Autobiographie, et du poète mulâtre Gabriel de la Concepción Valdés, dit Plácido (1809-1844), fusillé en 1844 par les Espagnols.