Tesson

"tesson" dans l'encyclopédie

• TESSONS, céramique

  • Écrit par Alain DUVAL
  • 1 280 mots

  Ces données ne sont cependant pertinentes que parce que le tesson peut être détruit (c'est alors qu'il devient précieux).

• CAHIERS DU CINÉMA

  • Écrit par Jean-Louis COMOLLI
  • 6 331 mots
  • 1 média

  Les rédacteurs en chef se succèdent rapidement : Antoine de Baecque (1996-1998), Charles Tesson (1998-2001) puis Tesson et Jean-Marc Lalanne (2001-2003), Emmanuel Burdeau (2003 à 2009). Après avoir brièvement appartenu au groupe la Vie-Le Monde, les Cahiers du cinéma sont rachetés en janvier 2009 par les éditions Phaidon. Stéphane Delorme en devient le rédacteur en chef.

• CUERDA SECA

  • Écrit par Colette CROUZET
  • 2 657 mots

  Au xe et au xie siècle, on trouve ce décor en Égypte et même en Corse, où un tesson a été trouvé à Mariana. Suivant la route de la faïence, qui est celle de l'expansion musulmane, la technique de cuerda seca apparaît en Espagne au xie et au xiie siècle à Málaga ; le trait est un peu plus épais qu'en Orient. Au xvie siècle, cette technique est appelée cuerda seca (corde sèche), parce que le trait qui isole les émaux, un composé d'oxyde de manganèse et d'huile, devient large comme une corde.

• DESHAYES JEAN (1924-1979)

  • Écrit par Serge CLEUZIOU
  • 5 511 mots

  De la Grèce au Pakistan et de l'Asie centrale à l'Arabie, de l'apparition de l'agriculture à l'avènement de l'islam, il n'y avait aucun domaine qu'il ne tînt à faire aborder à ses élèves, leur apprenant que du tesson de poterie à l'outil de bronze et à l'œuvre d'art, il existe une continuité, elle-même reflet de modes de vivre et de penser anciens qui sont en définitive l'objet réel de l'enquête archéologique.

• OBLOMOV, Ivan Gontcharov Fiche de lecture

  • Écrit par Luba JURGENSON
  • 5 888 mots

  Avec Oblomov (de oblom, « cassure », ou oblomok, « tesson », « débris »), Ivan Alexandrovitch Gontcharov (1812-1891), l'un des fondateurs du roman réaliste russe, crée un personnage de paresseux à qui sa démesure confère bientôt l'ampleur d'un mythe littéraire universel. Publiée en 1859, l'œuvre ancre son héros dans cette réalité russe qui, à la veille de l'abolition du servage, semble vouer les petits propriétaires terriens, tel Oblomov, à une prompte disparition, au profit des hommes d'affaires capables d'affronter ce réel qui en Russie a toujours été, d'une manière ou d'une autre, l'objet de scandales sociaux ou métaphysiques.