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"thio-urée" dans l'encyclopédie

  • GERMINATION

    • Écrit par Paul ROLLIN
    • 9 806 mots

    Deux séries d'arguments fondamentaux justifient cette vue : d'une part certains facteurs physiques ou chimiques (lumière, thio-urée, kinétine) stimulent la germination alors qu'ils inhibent la croissance de la radicule ; d'autre part, pendant tout le temps de la germination, les embryons peuvent être déshydratés et réhydratés sans dommage ; il n'en est pas de même si la croissance de la radicule a commencé.

  • DORMANCES VÉGÉTALES

    • Écrit par Paul ROLLIN
    • 12 352 mots
    • 2 médias

    La dormance, insensible au froid, peut être levée par la monochlorhydrine du glycol, la thio-urée ou l'acide gibbérellique. Dans ce cas, tous les bourgeons croissent (pas de dominance apicale). Pour conserver plus longtemps les tubercules non « germés », on peut renforcer la dormance en les traitant par une auxine. Les bourgeons dormants n'incorporent pas de bases azotées comme l'uridine dans leurs ARN ; les traitements de levée de dormance sont inhibés par l'actinomycine D ; enfin, l'ADN extrait de bourgeons dormants ne synthétise pas d'ARN in vitro en présence d'ARN polymérase et de nucléosides triphosphates.

  • SOUFRE

    • Écrit par Fernande CHATAGNER, René LECLERCQ, Noël LOZAC'H et Serge MASSON
    • 35 921 mots
    • 11 médias

    La synthèse de thiols à partir de la thio-urée est également possible : En milieu alcalin, le sel de S-alkyl thio-uronium libère une S-alkyl thio-urée qui, chauffée en milieu aqueux, donne le thiol et de la cyanamide : Ils se distinguent des alcools correspondants par une plus nette acidité de l'hydrogène lié au soufre, ce qui correspond au fait que l'hydrogène sulfuré est plus acide que l'eau.

  • BISMUTH

    • Écrit par Anne-Marie TRISTANT
    • 16 142 mots
    • 4 médias

    De nombreux réactifs organiques permettent la caractérisation (thio-urée), le dosage photométrique et parfois même l'extraction par des solvants organiques (dithizone). Citons l'intérêt des iodobismuthites soit pour l'isolement du bismuth, soit pour la caractérisation de bases azotées en solution ou sur des plaques chromatographiques (réactif de Draggendorf).

  • INTOXICATIONS

    • Écrit par Jacques-Robert BOISSIER et Claude PIVA
    • 22 798 mots
    • 2 médias

    ), de fongicides ou anticryptogamiques (arsénites, sels de cuivre et de mercure, thiocarbamates, thiurames, dérivés mercuriels très toxiques), d'insecticides (organochlorés, organophosphorés, paradichlorobenzène, naphtaline, nicotine), de rodenticides (phosphore, phosphure de zinc, sels de thallium, de baryum, strychnine, tous très dangereux, dérivés de la coumarine, de la thio-urée, de la pyridine), de nématocides constitués par des dérivés halogénés assez toxiques des métaux lourds (plomb, mercure, cadmium), des solvants.

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