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Thyréotrope

  • Adjectif singulier invariant en genre

Définition

  1. en médecine, qui stimule les sécrétions thyroïdiennes

"thyréotrope" dans l'encyclopédie

  • LI CHOH HAO (1913-1987)

    • Écrit par Michel CHRÉTIEN
    • 2 739 mots

    ), thyréotrope (T.S.H.) ; les mélanotropes (M.S.H.), les lipotropines et la β-endorphine. Il en détermine aussi la composition et la séquence en acides aminés. Celle de l'A.C.T.H. a coïncidé avec celles de l'insuline et de la vasopressine par les docteurs F. Sanger et Vincent Du Vigneaud. Conscient que la synthèse peptidique fournissait une occasion unique et un champ fertile pour étudier les relations de structure-activité, il prend un congé sabbatique chez le professeur R.

  • PARANÉOPLASIES ou SYNDROMES PARANÉOPLASIQUES

    • Écrit par René PIÉRON
    • 5 843 mots

    D'autres sécrétions hormonales ectopiques ont été décrites, plus rarement : sécrétion d'hormone thyréotrope (TSH) dans certains cancers bronchiques, digestifs, trophoblastiques ou même, très rarement, thyroïdiens ; sécrétion d'érythropoïétine stimulant l'érythropoïèse, c'est-à-dire la formation des globules rouges, dans les cancers du cervelet, du foie, de la surrénale, du rein ; sécrétion de prolactine, d'insuline, de calcitonine, d'hormones gonadotropes, d'hormones intestinales.

  • NÉOTÉNIE

    • Écrit par Lieba LAZARD
    • 9 271 mots

    La stimulation considérable de la glande thyroïde, qui coïncide avec la crise métamorphique, est directement liée à la libération dans l'organisme d'une hormone thyréotrope élaborée par le lobe antérieur de l'hypophyse, la thyréostimuline (TSH), dont la sécrétion est à son tour sous contrôle hypothalamique. Dans le cas de la néoténie obligatoire du protée et du necture, aucune administration d'hormone ne peut provoquer la métamorphose.

  • HORMONES

    • Écrit par Jacques DECOURT, Yves-Alain FONTAINE, René LAFONT, Jacques YOUNG et Encyclopædia Universalis
    • 78 944 mots
    • 11 médias

    C'est ainsi que l'on a pu individualiser les releasing factors qui commandent la mise en circulation des stimulines hypophysaires, c'est-à-dire des hormones corticotrope, thyréotrope et gonadotropes, lesquelles tiennent à leur tour sous leur dépendance l'activité et les conditions auxquelles obéissent la nutrition et le développement (trophicité) des « glandes cibles » : corticosurrénale, thyroïde et glandes génitales.

  • HYPOPHYSE ou GLANDE PITUITAIRE

    • Écrit par Jacques DECOURT et Encyclopædia Universalis
    • 36 188 mots
    • 4 médias

    Tel est par exemple le cas de l'eunuchoïdisme hypogonadotrophique, qui représente un défaut isolé d'hormones gonadotropes, avec conservation des fonctions somatotrope, corticotrope et thyréotrope. Le tableau est alors celui d'une insuffisance génitale pure, du type de l'eunuchoïdisme. Mais l'absence de gonadotrophines dans l'urine différencie aisément ce syndrome de l'eunuchoïdisme vrai (insuffisance primaire des gonades) qui comporte, après l'âge de la puberté, un taux anormalement élevé de gonadotrophines dans l'urine.

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