"timbre-poste" dans l'encyclopédie
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PREMIER TIMBRE-POSTE
- Écrit par Bernard VALADE
- 1 212 mots
« Petit morceau de papier juste assez large pour porter un timbre et gommé au verso », le timbre-poste fut inventé par Rowland Hill (1795-1879), le promoteur en Grande-Bretagne de la réforme qui a consisté à proportionner la taxe postale non plus à la distance mais au poids de la lettre. Le système du Penny Postage établissant une taxe uniforme d'un penny pour toute lettre d'un certain poids fut adopté en 1839.
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PEYNET RAYMOND (1908-1999)
- Écrit par Nelly FEUERHAHN
- 5 366 mots
Ce thème incarnant la grâce innocente d’un jeune couple à jamais amoureux fera l’objet d'un timbre-poste, édité en 1985, à l'occasion de la Saint-Valentin. Quant à l'édicule du jardin de Valence, devenu Kiosque des amoureux de Peynet, et classé monument historique en 1982, il figurera en 2000 sur un timbre-poste de format peintre, gravé en taille-douce, récompensé par le Cérès du plus beau timbre de l’année et par celui du meilleur graveur.
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EFFEL JEAN (1908-1982)
- Écrit par Nelly FEUERHAHN
- 2 386 mots
Hommage assez rare pour un humoriste, un timbre-poste lui a été consacré le 15 octobre 1983.
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FOLON JEAN-MICHEL (1934-2005)
- Écrit par Hervé GAUVILLE
- 4 107 mots
Ses territoires d'intervention se multiplient, depuis le très grand format – comme sur les murs du métro de Bruxelles ou sur ceux de la gare de Waterloo à Londres – jusqu'au tout petit, avec le timbre-poste. Il imagine même, en 1989, l'emblème de l'exposition internationale philatélique à Paris. La même année, son icône « aux oiseaux » devient le symbole de la commémoration de la Révolution française sur de nombreux timbres et objets commémoratifs dans le monde.
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GID RAYMOND (1905-2000)
- Écrit par Pascal FULACHER
- 5 387 mots
Nombre d'expositions lui ont été consacrées à travers le monde, un timbre-poste lui a même été dédié en 1986 : « Raymond Gid - Typographie ». Lui, dont la vocation était de faire « chanter les murs », fit la part belle à la typographie, condition essentielle d'une communication fluide, donc efficace. Raymond Gid meurt en 2000 à Paris.