Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

"tin" dans l'encyclopédie

  • MORRIS (1923-2001)

    • Écrit par Dominique PETITFAUX
    • 4 819 mots

    Aux deux personnages de base, Lucky Luke, cow-boy nonchalant mais déterminé dans la tradition de ceux des films américains, et Jolly Jumper, son cheval philosophe, il ajoute une galerie de personnages secondaires hauts en couleur, et dont la présence se révèle vite indispensable, comme les abominables cousins Dalton, quatre bandits plus dérisoires que redoutables, ou Ran-Tan-Plan, un chien de garde totalement stupide, antithèse du Rin-Tin-Tin hollywoodien.

  • ZANUCK DARRYL F. (1902-1979)

    • Écrit par Patrick BRION
    • 5 046 mots

    En 1924, il écrit notamment des scénarios pour le chien vedette Rin Tin Tin. Sous contrat à la Warner Bros., il devient l'un des collaborateurs préférés de Jack Warner qui dira de lui : « Il pouvait écrire dix fois plus vite que n'importe quel autre homme » et utilise trois pseudonymes : Melville Crossman, Gregory Rogers et Mark Canfield. En 1929, Jack Warner le place à la tête de la production de la compagnie.

  • MANN ANTHONY (1907-1967)

    • Écrit par Jean TULARD
    • 1 720 mots

    La Porte du diable (Devil's Doorway, 1950) ouvre un cycle de westerns, une dizaine au total, qui sont autant de chefs-d'œuvre : Les Furies (1950, transposition de L'Idiot de Dostoïevski dans l'Ouest américain), Winchester 73 (1950), Les Affameurs (Bend of the River, 1952), L'Appât (The Naked Spur, 1953), Je suis un aventurier (The Far Country, 1955), L'Homme de la plaine (The Man from Laramie, 1955), La Charge des Tuniques bleues (The Last Frontier, 1956), Du sang dans le désert (The Tin Star, 1957), L'Homme de l'Ouest (The Man of the West, 1958).

  • ḤAQQĪ YAḤYĀ (1905-1992)

    • Écrit par Sayed Attia ABUL NAGA
    • 1 824 mots

    Ses études de droit le font nommer, en 1925, substitut à Manfalout, où il prend conscience de la condition misérable du fellah qu'il évoque dans Sang et Boue (Dimā' wa Tin, 1955). Entré dans la carrière, il occupe des postes en Turquie, en Libye, à Rome, à Paris. Il devient ensuite rédacteur d'une revue culturelle, Al-Majallah (La Revue). Témoin attentif de la civilisation occidentale et grand admirateur du roman français, il s'intéresse particulièrement aux rapports entre l'Europe et le monde arabo-musulman, thème qu'il n'a cessé d'aborder dans son œuvre, notamment dans Un Égyptien à Paris (Haqibah fī yadd musāfir), paru en 1969.

  • BROOKS RICHARD (1912-1992)

    • Écrit par Jean TULARD
    • 1 852 mots
    • 1 média

    On lui doit aussi deux adaptations fort réussies de Tennessee Williams : Doux Oiseau de jeunesse (Sweet Bird of Youth, 1962) et surtout La Chatte sur un toit brûlant (Cat on a Hot Tin Roof, 1958) et une transposition honorable de Conrad : Lord Jim (1965). Avec Elmer Gantry, son meilleur film reste Les Professionnels (The Professionals, 1966), western plein de mouvement où se révèle enfin ce plaisir de filmer qui fait le charme des cinéastes américains : c'est, d'ailleurs, une parabole très courageuse, à son époque, sur la guerre du Vietnam.

Recherche alphabétique

Le Dictionnaire Cordial comporte plus de 120 000 entrées. Il reconnaît les formes fléchies (féminin, pluriel, conjugaison des verbes). Les noms propres ne sont pas pris en compte.