Toc
- Nom masculin singulier
- Adjectif masculin singulier
Définition
Employé comme adjectif
- faux, de mauvais goût
- (interj.) imitation d'un coup (souvent doublé : toc , toc !..)
Employé comme nom
- imitation d'une matière précieuse (c'est du toc )
- pièce d'un tour qui sert à entraîner la pièce à travailler
"toc" dans l'encyclopédie
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TROUBLES OBSESSIONNELS COMPULSIFS (TOC)
- Écrit par Bruno MILLET
- 20 822 mots
Pour certains patients, l’effet thérapeutique est tel qu’il peut conduire à une diminution de 60 à 70 % de l’intensité des TOC. Dans des TOC d’intensité légère, la psychothérapie cognitivo-comportementale seule peut suffire. Le TOC serait dû à un dérèglement de l’acquisition d’une procédure comportementale, avec le conditionnement néfaste qui en découle.
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PSYCHOLOGIE CLINIQUE DES TROUBLES OBSESSIONNELS COMPULSIFS
- Écrit par Martine BOUVARD
- 5 852 mots
Les critères diagnostiques internationaux ont longtemps considéré le trouble obsessionnel compulsif (TOC) comme un diagnostic indépendant appartenant à la catégorie des troubles anxieux. Il fait maintenant partie des troubles appartenant au spectre obsessionnel compulsif selon les critères diagnostiques du DSM-5. Le TOC se caractérise par la présence d’obsessions et/ou de compulsions.
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TERAYAMA SHŪJI (1935-1983)
- Écrit par Josiane PINON
- 6 228 mots
Dans rue, il fait encore scandale avec Toc, toc ! 1978 est pour lui une année de tournée internationale avec Instructions aux serviteurs ; il écrit aussi Third pour le jeune réalisateur Higashi Yoichi. En 1979 il redouble d'activité théâtrale : Reming, Chasse à l'enfant, Le Château de Barbe Bleue, Le Temps où j'étais un jeune loup, Introduction de la jeunesse au suicide, La Fin du voyage, Qui a découpé le petit chat ?.
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GARNIER CHARLES (1825-1898)
- Écrit par Yve-Alain BOIS
- 3 019 mots
- 1 média
Les autres bâtiments de Garnier n'ont rien de ce faste « toc » qui fait de l'Opéra (et du casino de Monte-Carlo) d'intéressants symptômes d'un autre âge.
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ARGENTO DARIO (1940- )
- Écrit par Joël MAGNY
- 4 813 mots
Qualifié de « polar-illusion », ce film au voyeurisme « chic et toc », aux références envahissantes (Mario Bava, Hitchcock, Lang...), n'en crée pas moins un climat de terreur envoûtante grâce au talent graphique du cinéaste et à ses cadrages « au rasoir ». En 1971, Le Chat à neuf queues et Quatre Mouches de velours gris manifestent la même indifférence à l'égard du scénario et de la vraisemblance, leur préférant les intrigues alambiquées et des morceaux de bravoure constitués d'images chocs aux effets violents à base de sang, de sexe, d'images graphiques et géométriques, dominées par la couleur rouge.