Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

"tolédan" dans l'encyclopédie

  • SÁNCHEZ COTÁN fray JUAN (1560-1627)

    • Écrit par Marcel DURLIAT
    • 2 645 mots
    • 1 média

    Né à Orgaz, une bourgade des monts de Tolède, Sánchez Cotán étudia la peinture avec le Tolédan Blas del Prado. Cet artiste, de tradition maniériste, était surtout apprécié comme peintre de fleurs. En 1603, la quarantaine passée, Sánchez Cotán entre chez les chartreux. Apparemment, cette vocation n'est pas la conséquence d'une crise intérieure, mais l'épanouissement d'une piété profonde.

  • ABBADIDES

    • Écrit par Charles-Emmanuel DUFOURCQ
    • 7 324 mots

    En 1074, al-Motamid augmenta encore la puissance financière de ce grand roi chrétien en lui versant une forte somme pour obtenir son alliance contre Grenade ; en 1078, Alphonse VI traversant l'État tolédan, qui était aussi son tributaire, et lançant un raid jusque sous les murs de Séville, al-Motamid effectua un nouveau paiement important pour obtenir son repli.

  • 1963 50e Tour de France

    • Écrit par Pierre LAGRUE
    • 3 460 mots

    À Chamonix, le Normand s'impose au sprint devant le Tolédan et prend le maillot jaune. C'est donc dans la montagne, avec panache, qu'Anquetil remporte le Tour de France. Il s'agit de son quatrième succès. Il est le premier à réussir cette performance, et le public du Parc des Princes lui réserve une ovation, les quolibets étant pour Raymond Poulidor, rejeté à la huitième place (à 16 min 46 s).

  • GRECO (1541-1614)

    • Écrit par Véronique GERARD-POWELL
    • 13 797 mots
    • 7 médias

    Trop longtemps traité comme un génie isolé et sans postérité, Greco doit être compris comme une personnalité complexe marquée par le souvenir toujours vivace de sa formation italienne et par son épanouissement dans le milieu humaniste tolédan. Son apport capital pour le développement de la peinture espagnole réside dans l'expression de la vie spirituelle et dans l'art du portrait qu'il a profondément enrichi.

  • LAZARILLO DE TORMES (1553/54)

    • Écrit par Marcel BATAILLON
    • 11 425 mots

     Márquez) la paternité d'un polygraphe aimant le folklore, le tolédan Sebastián de Horozco. La question reste ouverte. Mis à l'index en 1559 par l'Inquisition espagnole, Lazarillo de Tormes recommencera à circuler, expurgé de ses passages les plus anticléricaux, à partir de 1573. Il était déjà traduit en français (1560) et en anglais (1568), et devait l'être également en italien et en allemand.

Recherche alphabétique

Le Dictionnaire Cordial comporte plus de 120 000 entrées. Il reconnaît les formes fléchies (féminin, pluriel, conjugaison des verbes). Les noms propres ne sont pas pris en compte.