Tonal
- Adjectif masculin singulier
Définition
- en musique, relatif à un ton, à la hauteur d'une voix, d'un instrument...
- en musique, relatif à une tonal ité
Expressions autour de ce mot
- musique tonal e : dont la composition a pour base les modes majeur et mineur classiques
"tonal" dans l'encyclopédie
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TONAL SYSTÈME
- Écrit par Henry BARRAUD
- 28 830 mots
- 8 médias
Le système tonal est une sorte de loi-cadre qui fixe les structures hiérarchisées d'un certain nombre de groupements de sept sons sélectionnés, dénommés tonalités, et les rapports de ces groupements entre eux. Comme le système tonal est un produit spécifique de la musique occidentale, même si les Chinois connurent les premiers le demi-ton tempéré (cf.
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ATONALITÉ
- Écrit par Juliette GARRIGUES et Michel PHILIPPOT
- 24 104 mots
- 9 médias
La dissolution du système tonal classique Le système modal (ancien) et le système tonal (classique) sont fondés sur une véritable hiérarchie des degrés de la gamme, hiérarchie dans laquelle la note dite tonique (celle qui donne son nom au ton) joue le rôle principal. Une autre note, le cinquième degré de la gamme (par exemple, sol dans la tonalité d'ut), dite dominante, était également très importante.
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CARRILLO JULIAN (1875-1965)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 625 mots
Il a également composé de la musique de chambre et pour instruments solistes en modes tonal et micro-tonal.
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JAZZ MODAL
- Écrit par Eugène LLEDO
- 2 201 mots
- 1 média
Le jazz modal ne peut pas vraiment être considéré comme un courant à part entière ; il s'agit plutôt d'une approche dans l'improvisation promue dans les années 1950 par le compositeur, batteur, pianiste et pédagogue George Russell, avec ses théories sur le mode lydien, exposées dans son livre The Lydian Chromatic Concept of Tonal Organization for Improvisation (1959), qui reprenait sa thèse de 1953.
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VIENNE ÉCOLE DE, musique
- Écrit par Juliette GARRIGUES
- 7 498 mots
- 2 médias
Bien avant Schönberg, plusieurs compositeurs avaient affirmé la nécessité de se libérer du système tonal. Franz Liszt avait d'ailleurs fait un pas important dès 1885 en composant Bagatelle sans tonalité. L'abandon de la tonalité avait pour principales caractéristiques la déhiérarchisation des degrés de la gamme classique au profit du total chromatisme, le refus des accords classés, l'abandon d'un centre tonal et des modulations et, par suite, l'émancipation de la dissonance.