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"toréador" dans l'encyclopédie

  • CARMEN (G. Bizet)

    • Écrit par Alain PÂRIS
    • 7 813 mots

    Des cris marquent l'entrée du célèbre toréador Escamillo (baryton), au charme duquel Carmen résiste difficilement (couplets du Toréador : « Votre toast... je peux vous le rendre [...] Toréador, en garde ! »). Pourtant, lorsque don José revient, elle cherche à le convaincre de fuir avec elle et une bande de contrebandiers commandée par le Dancaïre, accompagné par son acolyte, le Remendado.

  • VOLLARD AMBROISE (1868-1939)

    • Écrit par Guy BELOUET
    • 2 448 mots

    Séduits par son visage, son haut front dégarni et griffé de rides, ses yeux las de dormeur frustré, son nez vaguement socratique et la barbe fine enveloppant sa pâleur, certains peintres l'ont choisi comme modèle, et une exposition réduite mais brillante de ses seuls portraits suffirait à montrer quelques mutations significatives de l'art du xxe siècle : les portraits gras et luisants qu'exécuta Auguste Renoir âgé, qui le peignit aussi une fois en toréador ; celui de Bonnard (Petit Palais, Paris), intimiste et réfléchi ; les portraits de Picasso, un étonnant burin et surtout le célèbre Vollard éclaté qui figure généralement dans les expositions consacrées au cubisme ; l'échec sans témoin, hélas ! de Degas qui renonça dès le premier rendez-vous, et l'essai (inachevé) de Cézanne, qui fut une aventure éprouvante pour ce patient et complaisant marchand : « Malheureux ! Vous avez dérangé la pose ! On doit poser comme une pomme.

  • BOETTICHER BUDD (1916-2001)

    • Écrit par Alain GAREL
    • 3 354 mots

    Le dernier, The Bullfighter and the Lady (La Dame et le toréador, 1951), signé cette fois Budd Boetticher, lui permet de passer chez Universal. En trois ans, il dirige onze films de série B d'action, tout aussi impersonnels que les précédents, mais dont quelques-uns témoignent malgré tout d'un sens certain du rythme et d'un goût pour l'ellipse. Après un autre film sur la tauromachie, The Magnificent Matador (Le Brave et la belle, 1955), il réalise un thriller nerveux et violent, The Killer is Loose (Le tueur s'est évadé, 1956), qui attire l'attention sur lui.

  • BOURNONVILLE AUGUSTE (1805-1879)

    • Écrit par Pierre LARTIGUE
    • 4 698 mots

    Parmi les trente-quatre œuvres originales qu'on lui doit, plusieurs restent au répertoire : Festival à Albano (1839), Le Toréador (1840), Napoli (1842), Le Conservatoire (1849), Kermesse à Bruges (1851), Une légende populaire (1854), La Ventana (1856), La Fête des fleurs à Genzano (1858), Loin du Danemark (1860), Le Corps des volontaires à Amager (1871).

  • BONICHE LILI (1921-2008)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 1 420 mots

    Parmi ses titres les plus fameux, mentionnons Alger Alger, Pedro le toreador, Alleche tu ne m'aimes pas, Ana el owerka. Sa grande popularité – qu'il partage alors notamment avec Blond-Blond, Line Monty et Reinette l'Oranaise – lui permet de faire des tournées dans tout le Maghreb. Après la Seconde Guerre mondiale, il monte à Paris, se produit au Soleil d'Algérie mais se marie bientôt, abandonne provisoirement la musique et retourne vivre en Algérie.

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