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"tré" dans l'encyclopédie

  • CORELLI ARCANGELO (repères chronologiques)

    • Écrit par Juliette GARRIGUES
    • 1 926 mots

    1681 Corelli fait publier à Rome son recueil de douze sonates d'église en trio opus 1 (12 Sonate da chiesa a tre), pour deux violons et basse continue ; ce recueil est dédié à sa protectrice, la reine Christine de Suède. 1685 Corelli fait publier à Rome son recueil de douze sonates de chambre en trio opus 2 (12 Sonate da camera a tre), pour deux violons et basse continue ; ce recueil est dédié au cardinal Benedetto Pamphili.

  • LABROCA MARIO (1896-1973)

    • Écrit par Nicole LACHARTRE
    • 1 702 mots

    On peut citer son Quatuor à cordes (1923), Stabat Mater, pour voix solistes, chœur et orchestre, et Tre Cantate della Passione secondo San Giovanni, pour basse, chœur et orchestre (festival international de Venise, 1950). Sans atteindre la complexité rythmique et la subtilité des tuilages de l'auteur du Sacre, le Quatuor à cordes dénote une forte influence de Stravinski.

  • MAJOLIQUE

    • Écrit par Jeanne GIACOMOTTI
    • 1 795 mots
    • 1 média

    Piccolpasso, dans son traité Li Tre Libri dell'arte del vasaio publié vers 1550, réserve encore le mot maiolica aux faïences à reflets métalliques imitées de celles d'Espagne, mais aujourd'hui les Italiens font de cette dénomination le synonyme de faïence et l'appliquent à toute céramique à couverte d'émail stannifère sans distinction de lieu, d'époque ni de style.

  • VILLANELLA, musique

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 1 861 mots

    a tre voci alla napolitana, Venise, 1545) ou de Giovanthomaso Cimello (Canzone villanesche al modo napolitano, Venise, 1545). Si la villanella se développa en réaction au madrigal, certains de ses plus beaux spécimens furent composés par des madrigalistes comme Adriaan Willaert, Roland de Lassus et Luca Marenzio. La villanella était étroitement liée à plusieurs autres formes vocales italiennes légères, notamment la mascherata, la moresca, la greghesca, la villota et la giustiniana.

  • PARISE GOFFREDO (1929-1986)

    • Écrit par Jean-Michel GARDAIR
    • 2 132 mots

    Il sera comme lui un merveilleux journaliste des plaisirs et de l'horreur en écrivant Cara Cina (1966), Due, Tre Cose sul Vietnam (1967), Biafra (1968). Cette Vénétie mythique de la grâce perdue, proche en cela du Frioul archaïque et maternel de Pasolini, Parise l'oppose obstinément à toutes les formes modernes de l'aliénation industrielle et concentrationnaire.

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