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"trappeur" dans l'encyclopédie

  • JEREMIAH JOHNSON, film de Sydney Pollack

    • Écrit par Laurent JULLIER
    • 4 941 mots

    Il a acheté un nécessaire de trappeur et a grimpé sans se retourner. Mais nous sommes au milieu du xixe siècle et de multiples dangers guettent le « pèlerin sans expérience » qu'il est : le froid, la faim, les loups, la tribu des Pieds-Noirs et celle des Corbeaux. Peu à peu, cependant, Jeremiah s'adapte. Griffe d'ours, un vieux trappeur, lui enseigne quelques astuces.

  • CROCKETT DAVID dit DAVY (1786-1836)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 2 854 mots

    Au départ, les Whigs courtisent Davy Crockett et lui font de la publicité dans l'espoir de créer un politicien populaire, aux allures de trappeur, pour contrebalancer l'influence d'Andrew Jackson. En 1834, Davy Crockett est invité à une tournée triomphale des bastions des Whigs dans l'Est. Les différentes anecdotes relatées dans la presse et les livres durant ses années d'appartenance au Congrès forgent rapidement une légende selon laquelle il s'agit d'un excentrique mais astucieux chasseur d'ours et d'un habitant de la frontière combattant les Amérindiens.

  • BATEAU-LAVOIR LE

    • Écrit par Maïten BOUISSET
    • 3 883 mots
    • 2 médias

    On l'appelait alors « La Maison du Trappeur » et Gauguin y séjourna ainsi qu'une troupe turbulente, faite à la fois de jeunes anarchistes et de peintres symbolistes qui s'y retrouvaient tous les samedis. Entre 1900 et 1904, Maurice Raynal y note la présence d'un marchand des quatre-saisons, d'un restaurateur de tableaux et de deux colonies d'artistes, l'une italienne groupée autour de Soffici et l'autre espagnole avec, entre autres, Paco Durio, qui devait céder son atelier à Picasso.

  • ROCKWELL NORMAN (1894-1978)

    • Écrit par Marc THIVOLET
    • 4 584 mots

    Dans l'arbre généalogique de l'« Américain moyen » réalisé par le Post et dans lequel figurent des pirates, des gentilshommes de l'ancienne Angleterre, des hommes de la prairie, des soldats et même une Indienne (en tant que squaw d'un trappeur à la barbe abondante, il est vrai), les Noirs apparaissent rarement. Vers la fin de sa vie, dans une œuvre réalisée pour le ministère de l'Intérieur et dont le style rappelle étrangement celui de Charles Marion Russell, il nous montre des Indiens vus de dos regardant un barrage du haut d'une colline.

  • POLLACK SYDNEY (1934-2008)

    • Écrit par Alain GAREL
    • 4 316 mots

    Trois ans après, Sydney Pollack signe Jeremiah Johnson (1972), qui évoque, à la manière d'une saga, la vie d'un trappeur entraîné dans une guerre personnelle avec une tribu indienne. Poème panthéiste, le film se place d'emblée parmi les chefs-d'œuvre du western et constitue l'un des sommets de l'œuvre du cinéaste. Il enchaîne ensuite, presque sans interruption, huit films de tous genres avec des fortunes diverses : The Way We Were (Nos Plus Belles Années, 1973), une love story ; The Yakuza (Yakuza, 1974), un film noir ; The Three Days of the Condor (Les Trois Jours du Condor, 1975), un thriller d'espionnage ; Bobby Deerfield (1977), un mélodrame ; The Electric Horseman (Le Cavalier électrique, 1979), un drame ; Absence of Malice (Absence de malice, 1981), une comédie dramatique ; Tootsie (1982), une comédie ; et Out of Africa (1985), une romance sur fond d'exotisme.

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