Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

"traveller" dans l'encyclopédie

  • HOWELLS WILLIAM DEAN (1837-1920)

    • Écrit par Jean-Paul ROSPARS
    • 2 319 mots
    • 1 média

    La même préoccupation se retrouvera d'ailleurs au centre de A Traveller from Altruria (1894), utopie sur la société sans classe. En réalité, les fondements idéologiques du socialisme de Howells sont assez faibles, comme en témoigne sa conception de la formation des classes sociales. Le passage à l'égalité sociale reste également des plus flous, et Howells est toujours tenté de voir la solution aux maux de la société dans des valeurs comme la courtoisie, la bonne volonté, voire la rédemption individuelle.

  • HUDSON WILLIAM (1841-1922)

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 3 524 mots

    Mais ce qui devait apporter finalement la gloire à Hudson, ce furent ses ouvrages sur la campagne anglaise : Afoot in England (1909), A Shepherd's Life (1910), Dead Man's Plack (1920), A Traveller in Little Things (1921) et A Hind in Richmond Park (1922). Même si l'impact de ces textes devait considérablement s'affaiblir par la suite, la précision et l'originalité des descriptions, la façon dont l'auteur sait accueillir et accepter la vie dans tous ses aspects jouèrent un rôle non négligeable dans le mouvement de « retour à la nature » qui marqua les années 1920 et les années 1930.

  • NASHE THOMAS (1567-env. 1601)

    • Écrit par Éliane CUVELIER
    • 3 785 mots

    Son humeur fantasque, alliée parfois à un certain sadisme, donne naissance à une œuvre romanesque inclassable, s'apparentant par certains aspects à la fiction picaresque : The Unfortunate Traveller, 1594 (Le Voyageur malchanceux), où la parodie comique et l'outrance burlesque voisinent avec une satire totale de la nature même de l'homme, où tout propos moral disparaît au profit d'une destruction jubilatoire.

  • HAWKES JOHN (1925-1998)

    • Écrit par Marc CHÉNETIER
    • 4 847 mots
    • 1 média

    Sur le versant plus ensoleillé d'une œuvre d'où l'obsession de la mort n'est jamais absente se trouve une trilogie : The Blood Oranges, 1971 (Les Oranges de sang), Death, Sleep and the Traveller, 1974 (La Mort, le Sommeil et le Voyageur) et Travesty, 1976 (Mimodrame). Leur érotisme prononcé, le thème récurrent des relations triangulaires ou quadrangulaires, l'exploration renouvelée des ambiguïtés de la narration les lient de façon si explicite que l'auteur a songé à les regrouper en un ensemble intitulé Humors of the Blood and Skin.

  • GOLDSMITH OLIVER (1728-1774)

    • Écrit par Jean DULCK
    • 5 658 mots

    Son poème didactique, The Traveller (Le Voyageur), 1764, méditation sur les structures politiques et sociales des divers États européens, eut son heure de célébrité, de même que The Deserted Village (1770), longue réflexion sur la désertion des campagnes. Négligeant son essai de ballade médiévale The Hermit, on goûtera plutôt ses petites pièces de circonstances, The Haunch of Venison (Le Quartier de chevreuil), 1776, ses satires, The Retaliation (La Revanche), ou ses jeux d'esprit, The Elegy on a Mad Dog.

Recherche alphabétique

Le Dictionnaire Cordial comporte plus de 120 000 entrées. Il reconnaît les formes fléchies (féminin, pluriel, conjugaison des verbes). Les noms propres ne sont pas pris en compte.