"trente-neuvième" dans l'encyclopédie
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VAŇHAL JAN KŘTITEL (1739-1813)
- Écrit par Marc VIGNAL
- 1 287 mots
Sa Symphonie en sol mineur de 1770 environ, notamment, forme avec la Trente-Neuvième Symphonie de Haydn et la Vingt-Cinquième Symphonie de Mozart, à peu près contemporaines et dans la même tonalité, une remarquable et très intéressante trilogie.
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1952 39e Tour de France
- Écrit par Pierre LAGRUE
- 3 133 mots
Bernardo Ruiz (Espagne), à 34 min 38 s Meilleur grimpeur Fausto Coppi (Italie) Classement par équipes Italie La course Des absents de marque au départ de ce trente-neuvième Tour de France : les deux derniers vainqueurs, les Suisses Ferdi Kubler et Hugo Koblet, ainsi que le Français Louison Bobet. Mais une présence inédite dans le peloton, dont l'importance va grandir au fil des années : celle de la télévision.
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WISE ROBERT (1914-2005)
- Écrit par Alain GAREL
- 4 564 mots
- 1 média
En trente-cinq ans, il tourne trente-huit films (plus un trente-neuvième après dix années de retraite) et aborde tous les genres : comédie, drame, fantastique, science-fiction, policier, western, guerre, musical, aventure, historique, etc. L'écriture filmique de Robert Wise se caractérise par l'économie des moyens, la précision du découpage, la rigueur des cadres, la clarté de la mise en scène, la fluidité du montage, la lenteur du rythme.
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CARTER JIMMY (1924- )
- Écrit par Marie-France TOINET
- 6 402 mots
- 3 médias
Homme politique américain, trente-neuvième président des États-Unis (1977-1981). Ancien officier de marine sur les sous-marins atomiques, Jimmy Carter rentre à vingt-neuf ans à Plains (Georgie) pour y prendre la succession de son père. Le métier de planteur de cacahuète, quels qu'en soient les charmes, vantés par Carter lui-même, n'est pas assez exaltant pour cet homme fort ambitieux : il se lance dans la politique locale, comme démocrate, ce qui est la règle presque exclusive dans le Sud.
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1994 15e Coupe du monde de football
- Écrit par Jean DURRY
- 5 562 mots
Le 16 juillet, pour la troisième place, la Suède, entre la huitième et la trente-neuvième minute, loge quatre fois le ballon dans les filets bulgares (4-0). Le 17 juillet, au Rose Bowl de Pasadena, la finale est crispante, frustrante, et laisse sur leur faim 94 194 spectateurs – la Coupe du monde a battu tous les records d'affluence, avec 3 567 415 spectateurs, soit une moyenne de 68 604 par match, chiffre bien supérieur au total italien de 1990, déjà important (48 411) – et plus d'un milliard de téléspectateurs : au terme des cent vingt minutes, le score est resté vierge, les Brésiliens n'ont pas réussi à déborder leurs adversaires.
