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"trimérie" dans l'encyclopédie

  • LOPHOPHORIENS

    • Écrit par Paul BRIEN
    • 13 175 mots
    • 1 média

    Si l'épistome s'histolyse, se réduit à la lèvre épistomiale, il n'en est pas moins vrai que la larve du Brachiopode a présenté d'abord une trimérie de l'unique paire de cavités cœlomiques. Ainsi les Brachiopodes à l'état larvaire ne sont pas sans rappeler la trimérie des Hydrocœliens. Comme chez ceux-ci, le cœlome se forme souvent par entérocœlie, et occupe les régions épistomiale, lophophorale et métasomiale.

  • RAFFLÉSIALES

    • Écrit par Chantal BERNARD-NENAULT
    • 2 850 mots

    Seuls des caractères communs, d'une part avec les Aristolochiales, d'autre part avec les Polycarpiques (trimérie et périsperme chez les Hydnoracées, formation du pollen et analogies florales chez les Rafflésiacées), expliquent leur place systématique.

  • ARISTOLOCHIALES

    • Écrit par Chantal BERNARD-NENAULT et Jacques MIÈGE
    • 8 129 mots
    • 2 médias

    ), permettent de rapprocher les Aristolochiales des Arales (trimérie de la fleur, biologie florale très semblable...). Usages et utilisations Les Aristolochiales possèdent des cellules à huiles essentielles : eugénol, asarone, pinène, qui sont incluses dans les tissus parenchymateux ; ces tissus accumulent communément des acides aristolochiques apparentés aux aporphines, alcaloïdes isoquinoléiques fréquents chez les Magnoliales.

  • POLYGONALES

    • Écrit par Jacques MIÈGE
    • 11 565 mots
    • 4 médias

    À partir de ce schéma central, et bien que la famille soit homogène, comme cela est démontré par la structure anatomique très uniforme des fleurs, des variations notables s'observent ; les unes allant vers le maintien de la trimérie mais avec des réductions ou des dédoublements d'organes, les autres tendant à la spiralisation des pièces et à un passage à la pentamérie.

  • DIOSCORÉALES

    • Écrit par Jacques MIÈGE
    • 12 211 mots
    • 2 médias

    Pour appuyer cette manière de voir, on peut souligner (Miège) qu'elles offrent des points communs avec les Ménispermacées : plantes grimpantes, diécie, trimérie des fleurs, graines albuminées, etc. La principale différence réside dans la position de l'ovaire, supère chez les Ménispermacées, mais les Roxburghiacées font la transition. Des fossiles découverts dans le Crétacé du Groenland sont sujets à discussion et les paléontologistes ne savent trop à laquelle des deux familles les attribuer (par exemple, le genre Macclintockia).

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