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"troisièmement" dans l'encyclopédie

  • TROISIÈME RÉPUBLIQUE

    • Écrit par Louis GIRARD
    • 79 707 mots
    • 33 médias

    Fondée en réaction contre le second Empire, la troisième République, à bien des égards, continue l'Empire de Napoléon III. Comme ce dernier, elle est portée par la vague du progrès scientifique et technique, par l'avènement d'une civilisation industrielle dont les expositions universelles de Paris (1878, 1895, 1900) illustrent la croissance. Jusqu'en 1914, la stabilité du franc favorise l'épargne.

  • ROME TROISIÈME

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 2 795 mots

    De même que Byzance, la deuxième Rome, avait supplanté la première lors des invasions barbares, certains écrivains russes du xvie siècle, qui considéraient que l'une et l'autre avaient successivement failli à leur mission de diriger la chrétienté, revendiquèrent pour Moscou, avec le titre de Troisième Rome, le droit de relayer Constantinople dans sa suprématie politique et religieuse.

  • MILLÉNAIRE TROISIÈME

    • Écrit par Pierre DELIGNY
    • 4 186 mots

    Au cours des dernières années du xxe siècle, il a beaucoup été question de l'approche de l'an 2000 et aussi de l'entrée prochaine dans le troisième millénaire. Et il faut bien reconnaître que ces deux événements – bien que séparés d'un an (et, plus précisément, de 366 jours, du fait de la bissextile exceptionnelle en 2000) – se sont confondus dans l'esprit de bien des gens, en grande partie par la faute des médias.

  • TROISIÈME VOIE, politique

    • Écrit par Laurent BOUVET
    • 8 371 mots

    La « troisième voie » est un objet politique non identifié. Jusqu'à sa résurgence dans le débat des années 1990, la notion de troisième voie renvoyait essentiellement à la vulgate sociale-démocrate en matière socio-économique : une voie étroite entre capitalisme marchand et dirigisme étatique, résumée parfois dans l'expression, d'origine allemande, « économie sociale de marché ».

  • WEIL (TROISIÈME CONJECTURE DE)

    • Écrit par Bernard PIRE
    • 1 895 mots

    Après sa thèse soutenue en 1968 à l'Université libre de Bruxelles, le mathématicien belge Pierre Deligne a effectué la première partie de sa carrière à l'Institut des hautes études scientifiques (I.H.E.S.) de Bures-sur-Yvette (Essonne) ; il y travaillait notamment sous la direction du mathématicien Alexandre Grothendieck. C'est là qu'en 1973 il prouve la troisième conjecture de Weil « sur les valeurs propres des endomorphismes de Frobenius ».

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