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Trophicité

  • Nom féminin singulier

Définition

  1. ensemble des fonctions de nutrition des organes, des tissus

"trophicité" dans l'encyclopédie

  • GENOU

    • Écrit par Claude GILLOT
    • 8 384 mots
    • 2 médias

    Du point de vue fonctionnel, sa pleine efficacité dépend de plusieurs conditions :– la rectitude en extension aligne normalement l'axe de la jambe sur celui de la cuisse, mais elle peut être modifiée de façons diverses (déviation en dehors, ou genu valgum, fréquente chez le jeune enfant, désaxation en dedans entraînant le genu varum et, vers l'arrière, le genu recurvatum, assez commun chez l'adolescente) ;– la stabilité en extension, indispensable à la station érigée prolongée, est liée au jeu des ligaments latéraux et croisés, mais, également, à la bonne trophicité du muscle quadriceps fémoral ; l'amyotrophie d'un des faisceaux, le vaste interne, aboutit au dérobement du genou, c'est-à-dire à l'absence de sécurité de l'appui pendant la marche.

  • HORMONES

    • Écrit par Jacques DECOURT, Yves-Alain FONTAINE, René LAFONT, Jacques YOUNG et Encyclopædia Universalis
    • 78 944 mots
    • 11 médias

    La thyréostimuline (ou thyro stimulating hormone, TSH) tient de même sous sa dépendance la glande thyroïde, dont elle maintient la trophicité chez l'animal hypophysectomisé et dont elle stimule la sécrétion. Elle active la captation d'iode par la glande et le passage dans le sang des iodothyronines (thyroxine et tri-iodothyronine). Les hormones gonadotropes assurent le fonctionnement des glandes génitales (cf.

  • HYPOPHYSE ou GLANDE PITUITAIRE

    • Écrit par Jacques DECOURT et Encyclopædia Universalis
    • 36 188 mots
    • 4 médias

    Des sept hormones sécrétées par l'antéhypophyse, quatre n'exercent leur action que par l'intermédiaire d'une autre glande endocrine, dont elles maintiennent la trophicité et l'activité sécrétoire. Telles sont la thyréostimuline (TSH ou thyréotrophine), la corticostimuline (ACTH ou corticotrophine), et les deux hormones gonadotropes (FSH et LH ou gonadotrophines) qui influencent respectivement la glande thyroïde, la glande corticosurrénale et les gonades (ovaires ou testicules).

  • NEUROLOGIE

    • Écrit par Raymond HOUDART, Hubert MAMO, Jean MÉTELLUS et Encyclopædia Universalis
    • 166 418 mots
    • 8 médias

    Entré dans la langue française aux environs de 1690 sous la forme, aujourd'hui caduque, de « névrologie », le terme de neurologie, utilisé à partir de 1732 pour désigner la branche de la médecine qui étudie l'anatomie, la physiologie et la pathologie du système nerveux – et principalement du cerveau –, reçut sa consécration officielle de Jean Martin Charcot lorsqu'il fonda en 1880 les Archives de neurologie.

  • VAISSEAUX SANGUINS ET LYMPHATIQUES

    • Écrit par Claude ELBAZ et Didier REINHAREZ
    • 81 472 mots
    • 4 médias

    L'angéiologie est une spécialité médicale autonome qui regroupe les études portant sur l'anatomie, la physiologie et la thérapeutique des maladies des vaisseaux périphériques : veines, artères, lymphatiques et capillaires. Cette discipline vise à faire la synthèse des données auxquelles d'autres spécialités se consacraient jadis : la dermatologie en ce qui concerne les ulcères de jambe, la chirurgie qui extirpait les veines variqueuses, la cardiologie qui traitait les artères, l'hématologie dans le domaine des troubles de la crase sanguine et des troubles des capillaires, la neurologie pour certains troubles vaso-moteurs, enfin la médecine générale qui prenait en charge de nombreux syndromes mal définis d'origine circulatoire, depuis les engelures jusqu'aux paresthésies en passant par les troubles lymphatiques et l'athérosclérose.

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