Ultimatum

"ultimatum" dans l'encyclopédie

• HENLEIN KONRAD (1898-1945)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 1 678 mots

  Il rend visite à Hitler le 1er septembre de la même année et, deux semaines plus tard, présente un ultimatum au gouvernement tchèque pour que ce dernier abroge la loi martiale déclarée en raison des troubles suscités sur le territoire. Alors que Prague ignore l'ultimatum, Henlein publie une proclamation dans laquelle il exige que les Sudètes soient rattachés à l'Allemagne.

• WIENE ROBERT (1881-1938)

  • Écrit par Victor BACHY
  • 1 344 mots
  • 1 média

  Exilé par le nazisme, il vécut tant bien que mal à Paris et mourut sans pouvoir achever Ultimatum, repris par Robert Siodmak.

• MERS EL-KÉBIR (1940)

  • Écrit par Armel MARIN
  • 1 588 mots

  L'amiral Gensoul, approuvé par son gouvernement, rejette l'ultimatum anglais lui enjoignant soit de se joindre aux forces britanniques, soit de gagner un port britannique, soit de se saborder. Sur ordre et contrairement aux lois de la guerre sur mer, l'amiral anglais Somerville canonne les bâtiments, incapables de riposter. On dénombre mille cinq cents morts.

• POULAT ÉMILE (1920-2014)

  • Écrit par Jean BAUBÉROT
  • 4 838 mots

  À la suite de l’ultimatum lancé à ces derniers par le pape Pie XII, il choisit de quitter le sacerdoce en 1954, tout en restant catholique. Il se marie l’année suivante avec Odile, qui sera une très précieuse collaboratrice. En 1954 également, il fonde, avec quatre autres chercheurs, le Groupe de sociologie des religions au C.N.R.S. Le groupe se fait connaître grâce à une revue, les Archives de sociologie des religions, où Poulat publie diverses études et d’innombrables notes critiques (plus de 2 000 en tout !).

• ISANDLWANA BATAILLE D' (22 janv. 1879)

  • Écrit par Pascal LE PAUTREMAT
  • 1 355 mots
  • 1 média

  Après l'envoi d'un ultimatum inacceptable au roi Cetewayo, un corps expéditionnaire est dépêché. Parvenu le 20 janvier 1879 au pied du promontoire rocheux d'Isandlwana (Natal), le lieutenant-général lord Chemlsford, peu méfiant et mal renseigné sur la localisation de l'armée zouloue, néglige de retrancher ses troupes. Partis de leur Kraal à Ulundi le 17, les régiments zoulous dissimulent leur progression jusqu'aux abords du camp.