Urologique
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- en médecine, relatif à la branche qui se consacre à l'étude des maladies des voies urinaires et de l'appareil génital de l'homme
"urologique" dans l'encyclopédie
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UROLOGIE
- Écrit par Pierre ABOULKER
- 17 186 mots
Les progrès de l'urologie, comme ceux des autres branches de la médecine, sont parallèles à ceux des sciences fondamentales et à leur application à l'étude des maladies des voies urinaires. L'accélération de ces progrès à partir des années 1950 a transformé la pratique de l'urologie.Longtemps confinée à l'étude des maladies des voies urinaires basses, urètre et vessie, et des organes génitaux de l'homme, l'urologie est devenue une spécialité très vaste qui fait appel à toutes les ressources diagnostiques et thérapeutiques.
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ROBOTIQUE CHIRURGICALE
- Écrit par Étienne DOMBRE
- 21 500 mots
- 10 médias
Microchirurgie Que ce soit pour réaliser une anastomose (raccordement de vaisseaux) lors d’un pontage coronaire, ou certains actes en chirurgie gynécologique, urologique, intra-oculaire, en neurochirurgie, les gestes à réaliser relèvent souvent de la microchirurgie de par la résolution des déplacements (typiquement le 1/10 de mm) et la faible amplitude des efforts exercés.
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URINAIRE APPAREIL
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 28 261 mots
- 6 médias
L'alerte est donnée par l'apparition d'hématuries capricieuses répétées et indolores chez un sujet d'une cinquantaine d'années sans passé urologique. Elles s'accompagnent typiquement d'un « gros rein » palpable (contact lombaire), parfois dépisté avant tout signe urinaire. Le diagnostic est radiologique. Les tumeurs malignes paranéphrétiques se développent aux dépens des vestiges embryonnaires ; le néphroblastome bilatéral se développe ainsi chez le jeune enfant ; il est curable par la radiothérapie.
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REIN
- Écrit par Paul JUNGERS
- 85 266 mots
- 8 médias
La constatation d'une hématurie doit amener une enquête néphrologique et urologique complète destinée à en trouver la cause. Celle-ci est soit une maladie des reins eux-mêmes (tumeur maligne ou bénigne, tuberculose, lithiase, maladie polykystique, glomérulonéphrite aiguë ou chronique, etc.), soit une atteinte des voies excrétrices : uretère, vessie, région urétro-prostatique (tumeurs bénignes ou malignes de la vessie, adénome ou cancer de la prostate, urétrite, lithiase des voies excrétrices).