Usum
Définition
- dans l'expression latine "ad usum ", selon l'usage
"usum" dans l'encyclopédie
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BOURSE DE BRUGES
- Écrit par Gunther CAPELLE-BLANCARD
- 1 468 mots
- 1 média
Plus tard, cet environnement pacifique profita également à la Bourse d'Anvers ; à partir de 1531, au fronton de son bâtiment, on pouvait lire : « Ad usum mercatorum cujusque gentis ac linguae » (« À l'usage des marchands de tous les pays et de toutes les langues »).
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BAKFARK BALINT (1507 env.-1576)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 830 mots
Cet ouvrage est suivi par un deuxième recueil imprimé en 1565 chez Lazar Andrisowycz à Cracovie, Bakfarci Valentini Greffi Pannonii Harmoniarum musicarum in usum testudinis factarum... Ses compositions pour luth, qui paraissent chez divers éditeurs à travers toute l'Europe, connaissent un grand succès. Bálint Bakfark contribue, par ces partitions et par sa virtuosité, à populariser la musique instrumentale.
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DACIER ANNE, née LEFÈVRE (1654-1720)
- Écrit par Bernard CROQUETTE
- 2 526 mots
Après avoir reçu les leçons de son père, Anne Lefèvre est protégée, quand elle devient orpheline, par Chapelain et par Huet, et chargée, grâce au duc de Montausier, de fournir quelques-uns des volumes de la collection destinée à l'éducation du dauphin (« ad usum Delphini »). C'est ainsi que, de 1674 à 1684, elle traduit et annote quatre auteurs latins : Florus, Aurelius Victor, Eutrope et Dictys de Crète.
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LA MOTHE LE VAYER FRANÇOIS DE (1588-1672)
- Écrit par Bernard CROQUETTE
- 3 967 mots
Mais il a été investi d'importantes fonctions officielles : nommé précepteur du duc d'Anjou avant de devenir historiographe du roi, il rédige de nombreux traités pédagogiques « ad usum Delphini », mais aussi des « parallèles historiques » qui révèlent une habile méthode comparative. Il revient enfin aux gaillardises de sa jeunesse dans son Hexaméron rustique et, plus que jamais, au pyrrhonisme, dans ses Soliloques sceptiques (1670).
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LITTÉRATURE D'ÉRUDITION (XVIIe s.)
- Écrit par Marie-Madeleine FRAGONARD
- 6 787 mots
Il entreprend également l'édition des classiques grecs et latins ad usum Delphini. Autre réussite, celle de N. Perrot d'Ablancourt (1606-1664) : avocat, il se consacre aux lettres, et entre à l'Académie en 1637 ; sa spécialité est l'esthétique de traductions (dites « belles infidèles »), où il met au goût du lecteur moderne des auteurs parfois rudes (Tacite, Thucydide, Xénophon).